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Marilyn Monroe house in Brentwood, California
Marilyn & Maf-Honey, at the entrance gate in 1962 as depicted by Brandon Heidrick
Marilyn's dining room and the window in front of which Allan Grant took photos of
her for LIFE magazine on July 7th, 1962.
table DE MASSAGE
COUSSIN
This Italian-style carved chair with green velvet upholstery was used in a July 1962 photo shoot with photographer Allan Grant to accompany a Life magazine article. Monroe chose her own casual clothes for the shoot. At the time of the article Monroe had just been fired from the unreleased film "Something's Got To Give."
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C'est en 1961 que John Huston, derrière la caméra, et Arthur Hiller, mari de Marylin, à l'écriture, tournent "The Misfits", les Désaxés, variation intimiste sur les rapports homme-femme. L'action se passe à Reno, dans le Nevada, cité du jeu relégué dans l'ombre par sa majesté Las Vegas, où un certain Guido, Eli Wallach, du Jack's Reno Garage,
passe sa journée à réparer des guimbardes,
dont celle de Rosalyn/Marylin !
La mécano et la bimbo vont se retrouver, par hasard, au Harrahs Club,
où Rosalyn et son amie, Isabelle, viennent siroter un whisky, pour oublier le divorce de la première !
C'est le chien "caporal" qui éveille alors son attention,
brave toutou d'un certain Gay Langland, ami du mécano Guido ! Et voilà qu'on se retrouve,
et qu'on fait connaissance avec Caporal,
et Gay/Clark Gable,
vieux cow-boy qui passe son temps à écumer les comptoirs de Reno pour noyer sa jeunesse perdue ! La joyeuse bande en profite pour faire un petit tour dans la maison de campagne de Guido,où l'alcool coule à flots,
et les visages se dérident,
entre les rires et le bourbon,
et une Rosalyn qui attise le désir des deux hommes !
Et à ce petit jeu, c'est le vieux cow-boy, Clark Gable, ramenant une Marylin épuisée et somnolente,
qui va séduire la belle divorcée,
reveillée par ce regard de braise !
Rencontre de deux épaves, entre une femme paumée et un vieil homme, par l'alcool, fatigué, qui vont vivre dans une bicoque des environs de Reno,
avec une Marylin qui retrouve enfin un peu de gaieté,
en compagnie de Gay,
dans un moment d'éternité !
La joyeuse troupe se retrouve pour un Rodéo, où doit concourrir un certain Pierre, joué par Montgomery Clift,
entre le dur à cuire et l'homme enfant, qui doit encore, longuement, téléphoner à sa maman ...
sous le regard attendri de Rosalyn !
Le nouveau quintet, improvisé, fait la tournée de grands ducs, entre paris débiles,
confidences spontanées,
enfant alcolisée,
(Dennis Shaw joue l'enfant)
et un Gay aviné, titubant et s'effondrant dans un soupir éthylique !
Le cow-boy perdu et faible dans la cité, redevient un lion, dans son désert,
nature immaculée que le monde moderne lui a fait quitter, pour se dissoudre dans l'atmosphère délétère des rades post-pubères !
La chasse aux Mustangs, volà qui lui redonne des couleurs,
avec un Guido aviateur,
qui se la joue rabatteur !
Mais voilà, parmi ces cow-boy,
incarnant le défunt Ouest sauvage, Rosalyn/Marylin ne serait donner des gages, et cette chasse aux chevaux sauvages,
ne lui donne que de la rage !
Comment ces hommes épris de liberté, pourraient,a vec leur lasso,
la nier ?
Le fragile Monty saura, de suite, que la capture de Mustangs destinés à une mort certaine,
ne pouvait que détruire Marylin l'urbaine, qui, hystérique, va interpeller le 3 hommes,
et les traiter de sales bonhommes !
Devant cette colère immaculée contre la violence des hommes,Monty, cèdera le premier,
puis Gay, cow-boy vexé dans sa virilité, qui rendra les armes, après un dernier barroud d'honneur, à sa dulcinée.
Entre les mustangs et Marylin, Clark choisira de quitter le monde sauvage pour, définitement, rendre ses armes à la civilisation !
The Misfits met en scène deux mondes qui s'entrechoquent, celui de la civilisation et de la sauvagerie, incarnés, respectivement, par Marylin et Clark Gable. Rosalyn représente la femme divorcée, symbole des nouveaux rapports de société, à la recherche d'une nouvelle virilité, femme perdue dans ces nouvelles sociabilités, alors que Gay, vieux cow-boy fatigué, se cherche une identité dans ce nouveau monde qu'il n'a nullement désiré !
Lion dans le désert, auprès de cette nature solaire, épave dans la cité, dans ces bars délétères, Gay symbolise un monde qui se meurt, celui de l'Ouest sauvage, des cow-boys et des mustangs, qui transforme les nobles cavaliers en futurs déclassés, dans une urbanité qui les marginalise, et une laborieuse modernité qui n'en fait que des lampistes !
C'est le chant du cygne du vieille société, faite d'honneur et de valeur, de paroles données et de défis irraisonnées, loin des règles du dieu "argent", où la cupidité est reine !
Mais au-delà de cette tragédie moderne, narrée avec sobriété par l'alcoolique John Huston, les désaxés, à l'insu de leur plein gré, mette en scène les fins de parcours de Marylin Monroe et de Clark Gable, de la blonde torturée et d'un Rhett Butler dont toutes les femmes ont rêvé, symbole d'un cinéma par les grands studios contrôlé, et qui vont disparaître, juste après le film.
Clark Gable mourra d'une crise cardiaque juste à la fin du tournage, Marylin, agonie d'antidépresseur, s'éteindra, solitaire, dans un lit abandonné. Le fragile Montgomery Clift les suivra de peu dans leur tombe ...faisant de ce film une sorte de d'oeuvre prémonitoire, de testaments inconscients illustrant l'éphémère condition des hommes ...
Même les étoiles meurent ...
SOURCESsuper blog
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Une lettre écrite par Elia Kazan adressée à Arthur Miller, où il lui dit ce qu'il pense sur le script des Désaxés (The Misfits). Il lui écrit qu'il tient entre les mains un très bon film et que la scène avec les chevaux à la fin peut être un chef d'oeuvre. Mais il explique que pour lui la fin n'est pas assez explicite, reste trop en suspens, et que le personnage destiné à Marilyn est "trop" : "trop de choses, trop bien, trop pure..."
Une lettre de Marilyn qu'elle a écrite au père d'Arthur, Isidore Miller.
Lettre très touchante puisqu'elle est datée du 2 février 1962, bien après le divorce de Marilyn avec Arthur, qui prouve donc qu'elle tenait à lui. Elle lui écrit qu'elle viendra bientôt le voir en Floride, et c'est effectivement ce qu'elle fera pendant le mois de février où elle passe 3 jours avec lui. Dans cette lettre elle évoque sa nouvelle maison à Helena Drive qui "est petite mais a une grande piscine. Le voisinage est calme mais elle est cependant placée près de zones commerciales."
Une lettre rédigée le même jour, cette fois adressée à Robert "Bobby" Miller, le fils d'Arthur. Dans cette lettre elle lui décrit longuement sa nouvelle maison et l'invite lui et sa soeur Jane à venir passer plusieurs jours chez elle, en lui proposant de payer elle-même les billets d'avion. Elle lui raconte également qu'elle était à un diner la veille où Robert Kennedy était l'invité d'honneur, qu'il est très intelligent et a de plus un grand sens de l'humour. Mais elle dit que ce qui l'a le plus impressionnée sont les réponses qu'il a pu fournir à ses questions sur les droits civils, et que Robert Kennedy lui a même demandé si elle avait déjà assisté à des meetings.
Une lettre écrite par Marilyn le 21 octobre 1957 aux directeurs de l'Actor's Studio, Lee Strasberg, Elia Kazan et Cheryl Crawford, où elle leur demande l'autorisation de continuer à suivre les cours car ils lui ont été d'une grande aide.
Une note de Marilyn s'exprimant sur des commentaires tenus par Tony Curtis après le tournage de Certains l'aiment chaud (Some like it hot) : " Il n'y aurait eu pour lui qu'une seule façon de pouvoir faire des commentaires sur ma sexualité et j'ai bien peur qu'il n'en ai jamais eu l'opportunité !"
La lettre de Marilyn adressée au Docteur Rabwin qui a pratiquée son appendicectomie, où elle lui demande de couper le moins possible et surtout de ne pas toucher à ses ovaires car elle veut plus que tout avoir des enfants. Elle demande également à ce qu'il essaye de limiter la taille de la cicatrice.
L'ébauche d'une lettre de Marilyn qu'elle destinait à Joe DiMaggio, qui fut retrouvée après sa mort : "Cher Joe, Si seulement je pouvais réussir à te rendre heureux, j'aurais accompli la chose la plus belle et la plus difficile au monde: rendre une personne parfaitement heureuse. Ton bonheur, c'est mon bonheur, et..."
Une note laissée à Marilyn par Yves Montand et sa femme Simone Signoret : "Nous avons pensé que cela te ferait plaisir de trouver quelques fleurs chez toi. M e r d e" !
Un reçu pour l'achat par Marilyn d'une statue de Rodin, "Le Pêché", et une peinture à l'huile par Poucette, "Le Taureau", et un autre pour l'achat de 3 volumes de "La vie et les travaux de Sigmund Freud".
sources
http://sugarkane.canalblog.com/archives/2008/09/02/10436377.html
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Des affaires personnelles de Marilyn photographiées
Suivant un conseil de Frank Sinatra, qu'elle fréquentait beaucoup dans les dernières années de sa vie, Marilyn Monroe conservait certains documents dans deux grand classeurs (meubles) :
des lettres, des factures, des documents financiers et des souvenirs auxquels elle tenait beaucoup.
Après sa mort, les 2 meubles (ainsi que plusieurs bijoux, manteaux de fourrures et autres affaires personnelles) furent récupérés et mis de côté par Inez Melson, manager de Marilyn.
Grâce au photographe Mark Anderson, qui passa deux ans à étudier ces affaires, il nous est maintenant permis de découvrir, via le magazine Vanity Fair, les photos de ces documents et objets personnels.
Je vais poster une sélection de quelques photos que je trouve intéressantes ici, vous pourrez trouver toutes les autres (plus de 500) en suivant ce lien :
Vanity Fair - The Marilyn Files
et en cliquant sur les différents liens que l'article vous propose.
Quelques bijoux, vêtements et accessoires ayant appartenu à Marilyn :
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PHOTO de JO DI MAGGIO
Chambre de MARILYN
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