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    Marilyn Monroe

     

    Ventes aux enchères - Julien's Auctions - Juin 2009 - Photos

    Voici enfin des photos de bonne qualité provenant de la vente aux enchères de cette année des Julien's Auctions...

    Photos prises par Hal Bloom ou Erwin Steinmeyer (il est écrit dans le catalogue qu'elles appartenaient à Erwin Steinmeyer mais qu'elles ont été prises par Hal Bloom... petit doute donc mais je pense qu'il est possible qu'Hal Bloom travaillait pour Steinie) :

     

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    Photos de Marilyn prises lors de diverses sorties (beaucoup ont été prises par James Haspiel) :

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    Photos prises lors de son séjour à Bement en 1955 :

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    http://sugarkane.canalblog.com/archives/2009/06/02/13943029.html

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  • Joshua Logan : " Quelle actrice ! J’ai essayé de beaucoup l’aider, de la soutenir, parce qu’elle en a besoin ; elle a toujours peur de mal faire et elle ne se laisse pas facilement aller : il faut continuellement l’encourager, ne jamais la maltraiter. " Il rajoutera : " Je n’ai pas peur de dire que c’est une actrice aussi présente sur un écran que Greta Garbo et aussi bonne comédienne que Charlie Chaplin. (…) Comme Charlot, elle sait jouer à la fois gaie et triste, gai triste, vous comprenez : un humour mélancolique et une mélancolie humoristique ; elle est toujours à la limite. "

     

    Après ce film dont la magie est intacte, même après 40 ans, Monroe place la barre très haut avec The prince and the showgirl (1957). Acteurs de composition et très gros budget. Le tournage est un cauchemar, le film est exécrable. Pourtant (on ne sait comment) mais elle parvient, malgré le statisme épouvantable de la mise en scène d'Olivier et son perpétuel mépris, à insuffler à son personnage médiocre une fraîcheur, une intelligence.

     

     


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  • Photo Cube  

    http://www.photocube3d.com/

     

     

     


    Photo Cube

     

     


    Photo Cube


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    C’est le 1er juin 1926 que la future icône Norma Jeane Baker alias Marilyn Monroe fille de Gladys Pearl Baker vit le jour au General Hospital à Los Angeles. L’histoire de cette égérie commence de manière atypique pour l’époque du puritanisme américain. En effet, l’identité de son père biologique est inconnue à ce jour mais grâce à une recherche et des déductions chronologiques deux pères potentiels sont identifiés : Martin Edward Mortenson, marié à Gladys Baker depuis 1924 mais qui divorcera rapidement, et Stanley Gifford, amant de Gladys à l’époque. C’est Edward Mortenson qui reconnaitra l’enfant.

     Edward Mortenson, père reconnu de Marilyn Monroe

     Gladys Pearl Baker et Marilyn Monroe, 1926

     

     

     

     

    Gladys Pearl Baker, belle blonde fragile et étant en proie à de graves troubles psychologiques et schizophréniques n’est pas en mesure d’élever son enfant et Norma Jeane est alors placée en foyer d’accueil. Elle sera élevée par Albert et Ida Bolender jusqu’à l’âge de sept ans, et sa mère biologique lui rendra quelques visites mais Norma ne la reconnait pas comme sa mère.

      

      

    En 1933, Gladys et sa fille peuvent enfin vivre ensemble quelques temps, mais cette période sera écourtée par une nouvelle dépression de Gladys en 1934. Norma Jeane sera alors successivement placée dans plusieurs foyers et orphelinats.

     

    Marilyn Monroe grandit donc dans un cadre instable, dans lequel il est difficile de se trouver des repères. Son père lui est inconnu, et sa mère ne joue pas le rôle d’une figure maternelle. Dans sa biographie, Marilyn Monroe écrit même « qu’elle ne sait pas qui est cette femme blonde qui lui rend visite de temps en temps« .

      

    Marilyn pourra cependant compter sur l’aide et le support de Grace McKee, la meilleure amie de sa mère, qui demande son adoption et l’obtient en 1937.

      

    Marilyn ira donc vivre à Van Nuys en Californie avec Grace McKee et son époux Ervin Goddard.

     

     

     

     

    Ervin Doc Goddard, conjoint de Grace McKee

     

     

     

    La maison des Goddards, dans laquelle Marilyn Monroe

    grandit à partir de ses 11 ans

      

    Cette année témoigne encore une fois d’un traumatisme violent car Marilyn, sera agressée sexuellement par Goddard, ainsi que par son cousin Jack Monroe en 1938. Sa puberté précoce fut donc un drame.

    Difficile alors pour la belle de se construire dans un climat aussi chaotique, et Marilyn mène une enfance réservée et très solitaire. En 1938, elle intègre la Jr High School mais n’y reste pas longtemps : elle rencontre entre temps James Dougherty, qui est alors son voisin. Il est âgé de 5 ans de plus qu’elle, et travaille dans une usine de munition.

    Marilyn quitte alors l’école pour travailler elle aussi, et elle se marie avec James Dougherty, dit Jim, en 1942.

      

    Film rare de MARILYN .. JANE BAKER 16 ans en 1942

      

      

    Ce mariage fut largement poussé par Grace McKee, soucieuse d’éloigner la jeune fille qui représente une tentation pour son mari, Ervin Goddard.

     

     David Conover, le premier photographe à remarquer Marilyn Monroe

    David Conover, le premier

    photographe

    à remarquer Marilyn Monroe

    Norma Jeane Baker alias Marilyn Monroe, le 26 juin 1945 

    Norma Jeane Baker, une de ses premières photographies professionnelles

      

      

      

      

      

      

      

     

    Norma Jeane Baker alias Marilyn Monroe, le 26 juin 1945

     

    à l'usine d'armement où elle travaille

      

      

    En 1943, James Dougherty s’engage chez les marines, laissant Norma Jeane seule au foyer. Celle-ci va vite s’ennuyer et déplorer ses obligations conjugales car elle préfère travailler.

    Norma Jeane décroche donc un poste dans une usine d’armement, où elle rencontre David Conover.

    Ce photographe est en réalisation d’un reportage sur l’implication des femmes dans la guerre et va photographier Marilyn.

    Sa photogénie sera alors largement remarquée, et c’est une grande carrière qui démarre en 1945.

     

     James Dougherty et Norma Jeane Dougherty en 1944

     Marilyn Monroe et James Dougherty en 1942, le jour de leur mariage                              

    James Dougherty et Norma Jeane Dougherty en 1944

     

     

    A partir de 1945, les propositions vont s’enchainer pour Norma Jeane qui se teint les cheveux en blond platine et adopte le nom de Marilyn Monroe : Monroe en référence au nom de jeune fille de sa mère, Gladys Pearl Baker, et Marilyn Miller une actrice que Norma Jeane admirait.

    La carrière de Marilyn Monroe est par la suite propulsée par l’agence Blue Book pour laquelle elle pose et avec laquelle elle fait des couvertures de magasines : Marilyn Monroe devient la Mmmmmm Girl en vogue, et fait tourner les têtes des hommes du monde entier. Voici quelques photos réalisées pour l’agence de modèles Blue Book :

     

     

     

      

      

    Par la suite, Marilyn va mener une carrière d’actrice plus que de mannequin, même si un bon nombre de ses rôles lui sont attribués en fonction de son physique avantageux de blonde pulpeuse. Son combat perpétuel sera d’ailleurs de se montrer sous un jour différent que celui qu’on lui prête. Marilyn Monroe est une femme ayant une soif de reconnaissance et d’amour énorme, ce qui n’est pas étonnant quand on sait dans quelles conditions son enfance s’est déroulée.

     

      

    La suite de ce dossier en fin de semaine et qui abordera la filmographie de Marilyn Monroe. On se quitte sur une vidéo rare de l’enfance de Marilyn Monroe, tournée lorsqu’elle avait 16 ans.

     

     
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    Si la carrière de Marilyn Monroe a commencé dans le milieu du mannequinat, la jeune femme s’est vite imposée comme actrice de talent. Sa filmographie regroupe plus d’une trentaine d’œuvres, et certaines sont aujourd’hui considérées comme des classiques du grand écran.

    La carrière de Marilyn ne s’est cependant pas construite en un jour : ses premiers rôles étaient insignifiants et Marilyn donnait à peine la réplique. C’est à l’âge de 21 ans que la jolie blonde décroche un rôle mineur dans un film de George Seaton, « The Shocking Miss Pilgrim » (L’extravagante Miss Pilgrim). Ensuite, son premier véritable rôle dans « Dangerous Year », produit par la Fox, la fera remarquer. Elle y joue le rôle d’Eve mais ne prononce que quelques phrases. Le réalisateur Arthur Pierson rappelera Marilyn pour jouer dans « Home Town Story » en 1951. Elle joue ensuite dans le film de Lloyd Bacon « You were Meant for Me », mais peu la reconnaissent car elle y joue le rôle d’une danseuse. Vient ensuite le film « Bagarre pour une blonde » ou « Scudda Hoo ! Scudda Hay », mais ce film ne permet pas encore à la star montante de montrer ses talents sur de grosses répliques (d’ailleurs, son nom n’est même pas mentionné dans le générique) : elle ne prononce que quelques mots dans ce film, les voici :

     

    Le premier grand rôle que Marilyn décroche est dans le film « Les Reines du Music-Hall », réalisé par Phil Karlson. Elle y joue une danseuse de music-hall tombée amoureuse d’un homme fortuné. Deux chansons sont interprétées par Marilyn dans ce film : « Every Baby Needs a Da-Da-Daddy » et « Anyone Can Tell I Love You ».

     

     

    D’autres films vont se succéder pour Marilyn, « La Pêche au Trésor » en 1949, « Le Petit Train du Far West » en 1950, « Tourment », « Les Rois de la Piste », « Eve », « Chéri divorçons », « Home Town Story », « Rendez-moi ma femme », « Nid d’amour », « La sarabande des pantins », et « Quand la ville dort », dans lequel elle ne joue pas un grand rôle mais qui va néanmoins contribuer à l’ascension de sa carrière car c’est le réalisateur John Huston qui produit ce film.

    Elle tourne en 1952 dans « Chéri je me sens rajeunir » dans un rôle de secrétaire un peu stupide. C’est un de ses premiers rôles principaux. Viennent ensuite « Le démon s’éveille la nuit », « Cinq mariages à l’essai ».

    Troublez moi ce soir, avec Marilyn Monroe, 1952

    Affiche de "Troublez moi ce soir", avec Marilyn Monroe et Richard Widmark, 1952

     

    Dans « Troublez-moi ce soir », Marilyn partage enfin la tête d’affiche avec Richard Widmark. Au même moment, des photos que Marilyn avait fait plus jeune sortent et font scandale : pour subvenir à ses besoins, Marilyn a posé nu devant un objectif. Ce scandale ne fait que renforcer le succès de son nouveau film, et Marilyn est présente dans tous les tabloïds. La bande annonce du film clame d’ailleurs : « Join Richard Widmark – as he opens the door on – America’s most exciting personality – Marilyn Monroe – every inch a woman – every inch an actress… » (Joignez-vous à Richard Widmark – lorsqu’il ouvre la porte sur – la plus excitante personnalité d’Amérique – Marilyn Monroe – entièrement femme et entièrement actrice).

     

    Niagara, Marilyn Monroe, 1953

    Affiche de "Niagara" avec Joseph Cotten et Marilyn Monroe, 1953

     

    Marilyn se partage ensuite la vedette avec Jospeh Cotten et Jean Petters dans « Niagara ». Marilyn verra sa carrière monter en flèche à la sortie de ce film. Le trio Cotten-Monroe-Petters est épatant et séduit ses spectateurs. Marilyn est vraiment considérée comme une star à partir de la sortie de ce film, en 1953.

     

     

    Dans « Les hommes préfèrent les blondes », Marilyn joue le rôle d’une blonde vénale et interprète « Diamonds Are Girl’s Best Friend ».

     

     

    Elle rencontre ensuite une autre vedette d’Hollywood dans le film « Rivière Sans Retour », Robert Mitchum. Le duo est détonnant. De plus, ce film est un des premiers à utiliser une technique de tournage nouvelle, le CinemaScope. Le film est tourné au Canada, dans un parc national et Marilyn y apparait plus belle que jamais aux bras de Mitchum. Elle interprète plusieurs chansons dans ce film, dont :

    Rivière sans retour, avec Marilyn Monroe, 1954

    Marilyn Monroe fait la couverture de "Rivière sans retour" en 1954 et vole en solo pour la première fois.

    - River of No Return

    - I’m Gonna File My Claim

    - One Silver Dollar

    - Down in the Meadow

    C’est aussi la première fois que Marilyn Monroe fait l’affiche toute seule.

    En 1955, Marilyn tourne dans le film « Sept ans de réflexion » et se rend encore plus célèbre grâce à la fameuse scène de la grille de métro. Pour l’anecdote, cette scène lui vaudra la fin de son mariage avec le joueur de baseball Joe DiMaggio qui ne put supporter que d’autres hommes posent leurs yeux sur les jambes de sa bien-aimée lors des multiples prises pour cette scène.

     

    Marilyn Monroe Photo inédite robe blanche métro "Sept ans de réflexion"

    Photo inédite de Marilyn sur le tournage de "Sept ans de réflexion"

     

    Marilyn aura des rôles importants dans tous les films qu’elle tournera par la suite :

    - « Bus Stop » en 1956, sous la production de Joshua Logan

    - « Le Prince et la Danseuse », tourné en 1957

    - « Certains l’aiment chaud », tourné en 1958, et sur le plateau duquel elle noue une relation charnelle avec l’acteur Tony Curtis. Lors du tournage de ce film, Marilyn est très affaiblie par une fausse couche récente, et elle travaille difficilement, multipliant les retards. Le résultat est tout de même au rendez-vous puisque le film fait un carton.

    Marilyn Monroe, à l'affiche de "Bus Stop"

    Marilyn Monroe, à l'affiche de "Bus Stop"

    Affiche Marilyn Monroe "Le Prince et la Danseuse"

    Marilyn Monroe est omniprésente dans le film "Le Prince et la Danseuse"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    - En 1960, c’est à Yves Montand qu’elle donne la réplique dans le film « Le Milliardaire ». Son idylle avec le mari de Simone Signoret va largement contribuer au succès du film. C’est l’antépénultième film de Marilyn.

    affiche le-milliardaire-marilyn-monroe-yves-montand

    Affiche du film "Le Milliardaire" dans lequel Marilyn Monroe et Yves Montand se donnent la réplique

    - En 1961, Marilyn se voit offrir le rôle de Roslyn Taber dans « Les désaxés » ou « The Misfits », écrit et inspiré par elle par son mari Arthur Miller. Elle y interprète le rôle d’une femme troublée en instance de divorce. Ce tournage est difficile. Marilyn enchaine les caprices, les retards, les prises de scène et ne manage pas son équipe. Un des acteurs de ce film, Gable, décède pendant le tournage, et Marilyn est accusée de l’avoir poussé au bout de sa santé, ce qui la jette dans une nouvelle phase de dépression. A la fin du tournage, Marilyn et Arthur Miller se séparent.

     

    L'équipe du tournage "Les désaxés" ou "The Misfits" avec Frank Taylor (producteur), Arthur Miller (scénariste), John Huston (réalisateur), Eli Wallach, Montgomery Clift, Marilyn Monroe, Clark Gable

    L'équipe du tournage "Les désaxés" ou "The Misfits" avec Frank Taylor (producteur), Arthur Miller (scénariste), John Huston (réalisateur), Eli Wallach, Montgomery Clift, Marilyn Monroe, Clark Gable

    - Marilyn entame ensuite le tournage de « Something Got to Give », mais ce film restera inachevé…

    Something-Got-to-Give-marilyn-monroe-piscine

    Marilyn Monroe, sublime dans le film "Something Got to Give" qui restera malheureusement inachevé

     
     
      
      
     
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    Red Sweater Sitting by Milton Greene Picture of Marilyn Monroe taken by Milton Greene in 1955. 

     

     

     

     Greene 51 Marilyn photographed by Milton Greene

     

     

    Photo Uploaded on 03/09/2012

     

     

     

    Photo Uploaded on 03/09/2012

     

     

     

     

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     Photo Uploaded on 03/09/2012

     

     

     

     

     

     

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  • Norma Jeane Baker, plus connue sous le pseudonyme de Marilyn Monroe, ne cesse de briller dans le ciel d’Hollywood comme l’étoile suprême du cinéma. Alors que Simon Curtis lui a consacré un émouvant film hommage, My Week With Marilyn, sorti le 4 avril, c’est avec émotion que nous lui dédions notre fashion flash-back du jour.

    Pose de pin-up, brushing impeccable aux vagues rétro, robe au décolleté à la romaine, Marilyn Monroe sait sublimer une simple petite robe noire. Dans son studio photo au charme désuet, rideau plissé recouvrant une assise ronde de rigueur, aux volutes de tissus semblant mourir au sol sous le charme de la jeune femme, Marilyn Monroe pose, déterminée et plus sensuelle que jamais, prête à conquérir la planète cinéma.

     

    Nous sommes en 1950, Marilyn a 24 ans, et brille par sa superbe et sa légèreté.

      

    Devant le flash des photographes, elle choisit la simplicité d’une robe noire, forcément ultramoulante pour mettre en lumière ses courbes voluptueuses. Plus connue pour sa robe lamée, ou encore sa cultissime robe blanche flottant dans les airs, Miss Monroe opte à ses débuts pour la sobriété, largement démocratisée par la petite robe noire de Coco Chanel.

      

    Seule exception: le décolleté à la romaine qui joue l’ostentation avec les épaules dénudées.

    marilyn_assise_reference

      

    Avec son visage d’ange mais sa pose de guerrière séductrice, Marilyn mise tout sur le charme, son arme de séduction massive. Mais celle qui est sublimée à l’écran par Michelle Williams dans My Week With Marilyn n’est pas qu’une jolie poupée de papier glacé. Elle est aussi émouvante, drôle et fragile. Une vraie star de cinéma.

     

     

     

     
     

     

     

    Norma Jeane Baker, plus connue sous le pseudonyme de Marilyn Monroe, ne cesse de briller dans le ciel d’Hollywood comme l’étoile suprême du cinéma. Alors que Simon Curtis lui a consacré un émouvant film hommage, My Week With Marilyn, sorti le 4 avril, c’est avec émotion que nous lui dédions notre fashion flash-back du jour.

     

     

    Pose de pin-up, brushing impeccable aux vagues rétro, robe au décolleté à la romaine, Marilyn Monroe sait sublimer une simple petite robe noire. Dans son studio photo au charme désuet, rideau plissé recouvrant une assise ronde de rigueur, aux volutes de tissus semblant mourir au sol sous le charme de la jeune femme, Marilyn Monroe pose, déterminée et plus sensuelle que jamais, prête à conquérir la planète cinéma.


     

     

     

     

    Nous sommes en 1950, Marilyn a 24 ans, et brille par sa superbe et sa légèreté. Devant le flash des photographes, elle choisit la simplicité d’une robe noire, forcément ultramoulante pour mettre en lumière ses courbes voluptueuses. Plus connue pour sa robe lamée, ou encore sa cultissime robe blanche flottant dans les airs, Miss Monroe opte à ses débuts pour la sobriété, largement démocratisée par la petite robe noire de Coco Chanel. Seule exception: le décolleté à la romaine qui joue l’ostentation avec les épaules dénudées.


     

     

     

     

    Avec son visage d’ange mais sa pose de guerrière séductrice, Marilyn mise tout sur le charme, son arme de séduction massive. Mais celle qui est sublimée à l’écran par Michelle Williams dans My Week With Marilyn n’est pas qu’une jolie poupée de papier glacé. Elle est aussi émouvante, drôle et fragile. Une vraie star de cinéma.

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    Le génie menteur ou les 7 miroirs de l'âme !

    Il y avait une fois un jeune prince qui trouvait les gens autour de lui méchants et égoïstes. Il en parla un jour à son précepteur qui était un homme sage et avisé et qui confia une bague au prince.

    - "Cette bague est magique. Si tu la tournes trois fois sur elle-même, un génie t'apparaîtra. Toi seul le verra. Chaque fois que tu seras insatisfait des gens, appelle-le. Il te conseillera. Mais fais attention : ce génie ne dit la vérité que si on ne le croit pas. Il cherchera sans cesse à te tromper."

    Un jour, le prince entra dans une violente colère contre un dignitaire de la cour qui avait agi contre ses intérêts. Il fit tourner trois fois la bague. Aussitôt, le génie apparut:

    - "Donne-moi ton avis sur les agissements de cet homme, dit le prince."

    - "S'il a fait quelque chose contre toi, il est indigne de te servir. Tu dois l'écarter ou le soumettre." A ce moment, le prince se souvint des paroles étranges de son précepteur.

    - "Je doute que tu me dises la vérité", dit le prince.

    - "Tu as raison", dit le génie, "je cherchais à te tromper. Tu peux bien sûr asservir cet homme, mais tu peux aussi profiter de ce désaccord pour apprendre à négocier, à traiter avec lui et trouver des solutions qui vous satisfassent tous deux. "

    Parcourant un jour la ville avec quelques compagnons, le prince vit une immense foule entourer un prédicateur populaire. Il écouta un instant le prêche de cet homme et fut profondément choqué par des paroles qui contrastaient violemment avec ses propres convictions. Il appela le génie.

    - "Que dois-je faire ?"

    - "Fais-le taire ou rends-le inoffensif", dit le génie. "Cet homme défend des idées subversives. Il est dangereux pour toi et pour tes sujets." Cela me paraît juste, pensa le prince. Mais il mit néanmoins en doute ce que le génie avait dit.

    - "Tu as raison", dit le génie, "je mentais. Tu peux neutraliser cet homme. Mais tu peux aussi examiner ses croyances, remettre en cause tes propres certitudes et t'enrichir de vos différences."

    Pour l’anniversaire du prince, le roi fit donner un grand bal où furent conviés rois, reines, princes et princesses. Le prince s'éprit d'une belle princesse qu'il ne quitta plus des yeux et qu'il invita maintes fois à danser sans jamais oser lui déclarer sa flamme. Un autre prince invita à son tour la princesse. Notre prince sentit monter en lui une jalousie profonde. Il appela alors son génie.

    - "Que dois-je faire, selon toi ? "

    - "C'est une crapule", répondit le génie. "Il veut te la prendre. Provoque-le en duel et tue-le. " Sachant que son génie le trompait toujours, le prince ne le crut pas.

    - "Tu as raison", dit le génie, "je cherchais à te tromper. Ce n'est pas cet homme que tu ne supportes pas, ce sont les démons de tes propres peurs qui se sont éveillés quand tu as vu ce prince danser avec la princesse. Tu as peur d'être délaissé, abandonné, rejeté. Tu as peur de ne pas être à la hauteur. Ce qui se réveille en toi dans ces moments pénibles te révèle quelque chose sur toi-même. "

    A l'occasion de la réunion du grand conseil du royaume, un jeune noble téméraire critiqua à plusieurs reprises le prince et lui reprocha sa façon de gérer certaines affaires du royaume. Le prince resta cloué sur place face à de telles attaques et ne sut que répondre. L'autre continua de plus belle et à nouveau le prince se tut, la rage au cœur. Il fit venir le génie et l'interrogea.

    - "Ôte-lui ses titres de noblesse et dépouille-le de ses terres", répondit le génie. "Cet homme cherche à te rabaisser devant les conseillers royaux."

    - "Tu as raison", dit le prince..Mais il se ravisa et se souvint que le génie mentait.

    - "Dis-moi la vérité" continua le prince.

    - "Je vais te la dire", rétorqua le génie, "même si cela ne te plaît pas. Ce ne sont pas les attaques de cet homme qui t'ont déplu, mais l'impuissance dans laquelle tu t'es retrouvé et ton incapacité à te défendre."

    Un jour, dans une auberge, le prince vit un homme se mettre dans une colère terrible et briser tables et chaises. Il voulut punir cet homme. Mais il demanda d'abord conseil au génie.

    - "Punis-le", dit le génie. "Cet homme est violent et dangereux."

    - "Tu me trompes encore", dit le prince.

    - "C'est vrai. Cet homme a mal agi. Mais si tu ne supportes pas sa colère, c'est avant tout parce que tu es toi-même colérique et que tu n'aimes pas te mettre dans cet état. Cet homme est ton miroir."

    Une autre fois, le prince vit un marchand qui voulait fouetter un jeune garçon qui lui avait volé un fruit. Le prince avait vu filer le vrai voleur. Il arracha le fouet des mains du marchand et était sur le point de le battre lorsqu'il se ravisa.

    - "Que m'arrive-t-il", dit-il au génie. "Pourquoi cette scène m'a-t-elle mis dans cet état ?"

    - "Cet homme mérite le fouet pour ce qu'il a fait", répondit le génie.

    - "Me dis-tu la vérité ?"

    - "Non", dit le génie. "Tu as réagi si fortement parce que l'injustice subie par ce garçon t'a rappelé une injustice semblable subie autrefois. Cela a réveillé en toi une vieille blessure."

    Alors le prince réfléchit à tout ce que le génie lui avait dit.

    - "Si j'ai bien compris", dit-il au génie, "personne ne peut m'énerver, me blesser ou me déstabiliser.

    - "Tu as bien compris", dit le génie. "Ce ne sont pas les paroles ou les actes des autres qui te dérangent ou que tu n'aimes pas, mais les vieux démons qui se réveillent en toi à cette occasion : tes peurs, tes souffrances, tes failles, tes frustrations.

    Si tu jettes une méche allumée dans une jarre d'huile, celle-ci s'enflammera. Mais si la jarre est vide ou qu'elle contient de l'eau, la mèche s'éteindra d'elle-même.

    Ton agacement face aux autres est comme un feu qui s'allume en toi et qui peut te brûler, te consumer, te détruire. Mais il peut aussi t'illuminer, te forger, te façonner et faire de l'autre un allié sur le chemin de ta transformation. Toute rencontre difficile devient alors une confrontation avec toi-même, une épreuve, une initiation."

    - "J'ai besoin de savoir encore une chose", dit le prince. "Qui es-tu ?"

    - "Je suis, moi aussi, ton reflet dans le miroir."

    __________________De Charles Brulhart Janvier 2004 ____________________
    *๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*๑۩۞۩๑*


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    Biographie

    Marilyn Monroe...
    Probablement le nom le plus connu de l'histoire du monde du cinéma américain. Un nom, une image, de multiples facettes... mais qui connaît réellement Marilyn Monroe ?

     

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    Norma Jeane Mortensen est née le 1er juin 1926 à Los Angeles. Fille de Gladys Monroe Baker et d'un père inconnu, elle vécut une enfance chaotique. Sa mère, fragile et irresponsable, est souvent obligée de la confier aux services sociaux, et dans de multiples familles d'accueil.

    Faisant de fréquents séjours en hôpital psychiatrique, elle ne vient voir sa fille que de rares week-ends. Quand Norma Jeane atteignit l'âge de sept ans, sa mère décida de prendre soin d'elle et elles partirent s'installer dans un bungalow. Malheureusement, les problèmes psychologiques de Gladys étaient toujours présents, et le bonheur d'être réunie avec sa mère ne dura pas pour la petite Norma Jeane.

     

      

      

     

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    Elle fut alors confiée à Grace McKee, une amie de sa mère. Grace était une jeune femme qui, comme beaucoup d'autres, avait rêvé de célabrité. Alors, elle reporta tous ses espoirs sur la jeune Norma Jeane, lui apprenant comment se maquiller, lui répétant chaque jour qu'elle deviendrait la plus grande star que le monde ait jamais connu. Cependant, un évènement vint troubler la tranquillité dans laquelle Norma Jeane vivait.

      

    Elle racontera des années plus tard que Doc Goddard, le mari de Grace, aurait eu sur elle des attouchement sexuels. A l'âge de 15 ans, nouvel abandon pour Norma Jeane: Grace et Doc durent partir en Virginie et, pour raisons financières, ne pouvaient l'emmener avec eux. La dernière chose que Norma Jeane souhaitait était de retourner à l'orphelinat. Grace trouva alors un compromis. Norma Jeane allait épouser le fils de leurs voisins, Jim Dougherty, son ainé de 5 ans.

     

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    Le 19 juin 1942, le mois de son seizième anniversaire, Norma Jeane devint officiellement la femme de Jim Dougherty. Elle se tourne alors vers une vie de femme au foyer. Elle sera de courte durée. La guerre faisant rage, Jim décide de s'enrôler dans la marine. Norma Jeane doit alors apprendre à vivre seule, à se débrouiller par ses propres moyens. Comme beaucoup de femmes d'hommes engagés dans l'armée, elle trouve un travail dans une usine, où sont fabriqués des parachutes. C'est dans ce lieu qu'elle fut découverte.

     

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    Repérée par un photographe de l'armée ayant pour consigne de remonter le moral des troupes, elle accepte de poser pour une série de photos. Consciente de son physique, elle tente alors sa chance à la Blue Book Model Agency. Rencontrant de plus en plus de succès, Norma Jeane devient indisponible pour son mari quand il est en permission. Il lui pose alors un ultimatum: le mannequinat ou lui. Le 2 octobre 1946, le divorce fut prononcé. Norma Jeane était alors libre de pouvoir réaliser son rêve, celui d'être aimée, adulée par le monde entier. La transformation vers Marilyn Monroe avait commencé.

     

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    Marilyn Monroe. C'est Ben Lyon, le révélateur de talents de la Fox, qui lui attribua ce nom. Marilyn pour Marilyn Miller, célèbre actrice, et Monroe pour le nom de famille de la grand-mère maternelle de Norma Jeane. Un nouveau nom, une nouvelle couleur de cheveux... mais ça ne suffisait pas encore pour devenir une star. Elle tourna deux petits rôles dans la Fox avant que son contrat ne soit arrêté.

    Elle décroche un contrat à la Colombia qui sera de courte durée malgré sa présence à l'écran indéniable dans "Ladies of the chorus" (Les Reines du Music-Hall). Mais refusant d'abandonner, Marilyn persévère, prend des cours de théâtre et de diction, essaye d'améliorer chaque petit détail. Cependant, ne touchant aucun revenu, elle se voit obligée de poser nue pour un photographe, Tom Kelley.

     

     

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    En 1950 elle décroche un rôle grâce à Johnny Hyde, son amant et agent très reconnu aux USA, dans "The Asphalt Jungle" (Quand la ville dort). Ce rôle lui permit de montrer qu'elle n'était pas qu'une blonde écervelée, mais qu'elle pouvait aussi jouer des rôles de composition. La Fox l'engage. Son rôle dans "All about Eve" (Eve) lui vaut d'être plébiscitée auprès des critiques enthousiastes, y compris auprès de Joseph Schenck, le président de la Fox, qui lui propose alors un second contrat, de 7 ans.
     

    C'est le début de la gloire pour Marilyn. Malheureusement, alors qu'elle est reconnue pour son talent d'actrice dans "Clash by night" (Le Démon s'éveille la nuit), un scandale éclate : les photos de Marilyn posant nue font surface. A cette époque, cela aurait pu briser la carrière de n'importe quelle grande star.

    La Fox, scandalisée, lui demanda de nier que c'était elle, mais Marilyn tourna cet incident à son avantage: elle expliqua qu'à l'époque, n'ayant plus d'argent, elle fut obligée de poser pour ces photos afin de pouvoir conserver sa voiture. Marilyn Monroe devint alors, petit à petit, l'icône de la libération sexuelle de la femme.

     

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    En 1952 sortit l'un des plus grands films de Marilyn, malheureusement méconnu de nos jours. Dans ce film, "Don't Bother To Knock" (Troublez-moi ce soir), Marilyn peut montrer toute l'étendue de son talent. Ce fut l'un des rôles les plus dramatiques de sa carrière: elle incarne une jeune femme, sortant d'un asile psychiatrique, essayant de refaire sa vie après avoir perdu l'homme qu'elle aimait; mais cette jeune femme retrouve vite ses vieux démons quand elle croit retrouver cet homme... Marilyn passe d'une émotion à une autre avec une facilité déconcertante, pleure naturellement, elle ne fait qu'une avec la femme qu'elle incarne. Mais, au grand désarroi de Marilyn, le public la préfère dans des rôles moins subtils, et les producteurs la cantonne dans des rôles de blondes ecervelées.

     

     

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    C'est la même année qu'elle est présentée à celui qui deviendra son mari: Joe DiMaggio, idole du base-ball américain. Marilyn voit en lui un homme respectable, reservé, et attentionné. Joe déteste plus que tout le monde du show-business, il souhaite mener aussi simplement possible une vie de famille normale.

    En 1953, un premier grand rôle est offert à Marilyn Monroe dans un film dramatique: elle interprète,dans "Niagara", Rose Loomis, une femme volage souhaitant de débarasser de son mari. C'est également dans ce film, ayant pour décor les chutes de Niagara, qu'elle interprète la plus longue marche de l'histoire du cinéma.

     

     

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    Marilyn est alors sur tous les fronts, elle accumule les succès: tout d'abord avec "Gentlemen Prefer Blondes" (Les Hommes préfèrent les blondes). Ce film est l'un des plus gros succès de l'année 1953, et Marilyn y brille de tout son éclat, faisant de l'ombre à sa partenaire Jane Russell.

      

    C'est suite à ce film que les deux actrices laisseront leurs empreintes devant le Grauman's Chinese Theater. Viendra ensuite "How to marry a millionnaire" (Comment épouser un millionnaire), film dans lequel elle tourne aux côtés de deux grandes stars: Lauren Bacall et Betty Grabble. Rôle encore une fois de comédie légère, où Marilyn interprète une jeune femme myope avide de richesses.

     

     

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    Toujours la même année, Marilyn tourne "The River of no Return" (La Rivière Sans Retour) sous la direction d'Otto Preminger. Tournage très éprouvant pour elle, aussi bien physiquement que moralement : Otto Preminger lui en fit voir de toutes les couleurs. Il refusa à Natasha Lytess, le professeur d'art dramatique de Marilyn, l'accès au tournage, et fit bien comprendre à l'actrice que s'il faisait ce film c'est uniquement parce qu'il était redevable à la Fox. Lors du tournage Marilyn se fit une entorse et en profita, selon certains, pour se venger de Preminger. Elle resta la jambre dans le platre quelques jous pendant que Joe DiMaggio la rejoignit.

     

     

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    Le 14 janvier 1954, Marilyn et Joe deviennent officiellement mari et femme. Ils le décidèrent de façon assez impromptue, et Marilyn ne prevint le studio qu'une heure avant la cérémonie. Malgré cela, plus d'une centaine de journalistes étaient présents à leur sortie de l'hôtel de ville. Lors de leur mariage de noces au Japon, où Joe devait être reçu comme une star, ce fut en fait vers Marilyn que toutes les attentions se tournèrent.

    On lui proposa alors, pour le plus grand malheur de Joe, de rendre visite aux troupes américaines en Corée, où elle interpréta une série de concerts. Dix concerts en deux jours, devant plus de cent mille soldats. Plus tard, elle s'en souviendra comme l'un des meilleurs moments de sa vie.

    De retour aux Etats-Unis, un nouveau rôle est proposé à Marilyn, qui le refusa au départ, avant que son salaire ne fut augmenté. Dans ce film, "There's No Business Like Show Business" (La Joyeuse Parade), Marilyn interprète une danseuse de music-hall tombant amoureuse d'un jeune homme, provenant d'une autre famille de danseurs, interprété par Donald O'Connor.

     

     

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    Puis on lui proposa un film aujourd'hui devenu mythique, notamment pour la scène où sa robe s'envole au-dessus d'une bouche de métro: "The Seven Year Itch" (Sept ans de réflexion). Ce film met en scène un homme marié essayant de séduire sa voisine pendant que sa femme et ses enfants sont en vacances à la campagne. Marilyn s'y montre plus séduisante et aguicheuse que jamais, ce qui ne manquera pas de créer de nombreuses disputes au sein de son couple.

      

    Lors du tournage de la scène de la robe, ça en est trop pour Joe: il voit des centaines de personnes admirer le spectacle, pendant que Marilyn s'offre à eux et à la caméra, consciente de l'effet qu'elle provoque. Joe, fou de colère, ne comprend pas que sa femme ne fait qu'interpréter son rôle. Il devient violent avec elle, et le 28 octobre 1954, Marilyn demande le divorce. Leur mariage n'aura duré que quelques mois.

     

    Après ce film, Marilyn souhaite pouvoir jouer autre chose que des blondes pulpeuses et stupides. Mais elle est bien consciente que ce n'est pas avec la Fox que ses souhaits se réaliseront. Avec l'aide de son ami et photographe Milton Greene, Marilyn décide de monter sa propre société, la Marilyn Monroe Productions.

      

    Elle quitte alors Hollywood pour s'installer à Manhattan où elle découvre les joies de l'anonymat. C'est aussi là-bas qu'elle assistera aux cours de l'Actor's Studio dirigé par Lee Strasberg.

      

    Elle suit les cours avec assiduité et impressionnera bon nombre de comédiens qui ne croyaient pas en elle. Mais Marilyn ne peut se passer de la Fox si elle veut être assurée d'être reconnue. Alors Darryl Zanuck consent à lui créer un nouveau contrat de non-exclusivité, stipulant qu'elle aura un droit de regard sur les réalisateurs. Marilyn rédigé donc une liste des réalisateurs avec lesquels elle accepte de tourner, comportant parmi d'autres John Huston ou Alfred Hitchcock.

     

     

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    Pendant son séjour à New York, Marilyn entame une idylle avec Arthur Miller, célèbre dramaturge, auteur de "La Mort d'un Commis Voyageur". A travers cet homme plus âgé qu'elle, elle trouve une épaule sur laquelle elle peut s'appuyer, l'image d'un père rêvé, un intellectuel capable de lui enseigner de nombreuses choses.
     

    De retour à Hollywood, Marilyn entame le tournage d'un nouveau film, produit par la Fox en partenariat avec la Marilyn Monroe Productions: "Bus Stop" (Arrêt d'autobus), dirigé par Joshua Logan.

      

    Un rôle dramatique pour Marilyn pour lequel elle applique La Méthode enseignée à l'Actors Studio: elle se fonde sur sa propre vie, ses propres émotions. Mais ce tournage devient très éprouvant pour elle, comme si elle traversait les mêmes choses que son personnage. Marilyn devient de plus en plus dépendante aux médicaments, et elle apparaît très fragile.

    Cependant son interprétation sera reconnue comme l'une des meilleures de sa carrière, et les critiques seront unanimes à son égard.

     

     

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    En juillet 1956, Marilyn Monroe épouse Arthur Miller. Ils convolent tous les deux vers l'Angleterre, où Marilyn doit tourner son prochain film, "The Prince and the Showgirl" (Le Prince et la Danseuse), entièrement produit par la Marilyn Monroe Productions. Mais entre elle et son partenaire dans le film, Laurence Olivier, règne une forte tension. Ce sera en partie l'une des raisons de l'échec du film, malgré de bonnes critiques.

     

     

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    Le 1er août 1957, Marilyn fait une fausse couche. Avoir un enfant était ce qu'elle espérait le plus au monde, et cette immense déception ne fait qu'accentuer encore plus son mal-être. A deux reprises on la sauve d'overdoses de barbituriques.

      

    C'est à ce moment qu'on lui propose de tourner "Some Like it Hot" (Certains l'aiment chaud) de Billy Wilder. Au départ réticente, Marilyn accepta finalement le rôle quand Arthur la convainquit que ce serait le succès assuré. Mais ce tournage se révéla encore une fois très difficile. Probablement perturbée par sa fausse couche récente, Marilyn arrivait sur le plateau des heures en retard, parfois sans même connaître son texte.

      

      

     

    Perfectionniste, elle demandait à refaire des prises un nombre incalculable de fois jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite de sa prestation. Quand elle ne connaissait pas son texte, ou qu'elle n'arrivait pas à s'en rappeler a cause du nombre de médicaments qu'elle ingurgitait pour lutter contre ses problèmes d'insomnie, on devait écrire ses répliques sur des pancartes. Un mois après la fin du tournage, Marilyn fit une nouvelle fausse couche.

    Elle était effondrée. Malgré tout, "Some Like it Hot" fut le plus grand succès de Marilyn.

     

     

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    Continuant toujours les tournages, Marilyn accepta un rôle aux côtés d'Yves Montand dans "Let's Make Love" (Le Milliardaire). C'est dans ce film qu'on commence à se rendre compte de l'état de Marilyn: elle semble absente, et paraît beaucoup plus que son âge. Marilyn elle-même proposa à la Fox de prendre Yves Montand pour jouer à ses côtés.

    Lors du tournage, elle succomba au charme de l'acteur français, ce qui commença à détériorer ses relations avec Arthur Miller. Le film fut un échec, et à Hollywood, on chuchotait déjà que la carrière de Marilyn était sur le déclin...

     

     

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    Cela n'empêcha pas Marilyn de rempiler pour un nouveau film, de plus aux côtés de grandes stars telles que Clark Gable, Montgomery Clift, et Eli Wallach, sous la direction de John Huston, et d'après un scénario écrit par Arthur pour Marilyn.

    Ce film, "The Misfits" (Les Désaxés) fut une réelle torture pour elle, ainsi que pour tous ceux qui y participèrent. Le personnage de Roslyn ressemblait en tout point avec Marilyn, qui se sentait seule, abandonnée, et mise à nue à travers ce rôle.

     

      

    De nombreuses tensions règnaient sur le plateau, et encore une fois les retards de Marilyn et sa prise de médicaments de plus en plus importante perturbèrent le tournage. Marilyn était au plus bas, et ce rôle la mettant face à elle-même ne fit que la rendre plus vulnérable; elle sombrait de plus en plus dans la dépression.

      

    Trois semaines après la fin du tournage, Clark Gable, dont Marilyn imaginait être la fille quand elle était petite, meurt d'une crise cardiaque. Marilyn se sentit profondément coupable, elle imaginait que son comportement avait du engendrer la mort de Clark.

      

    C'est après ce tournage que Marilyn et Arthur divorcèrent. Le 7 février 1961, Marilyn fut admise, selon les conseils de sa psychanalyste, dans le département psychiatrique du Payne Whitney Hospital. Cela ne fit qu'aggraver sa situation, elle se voyait devenir comme sa mère.

    Elle fut de plus placée dans un pavillon de sécurité, isolée et coupée du monde. Heureusement, Joe DiMaggio, toujours là pour elle malgré les années, la fit transférer dans un autre hôpital, où elle demeura pendant plus d'un mois. C'est peu après que Marilyn commença à fréquenter de plus en plus Frank Sinatra et son entourage, puis aurait entamé selon les rumeurs une relation avec le président John Kennedy.

     

     

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    Refusant d'abandonner le cinéma, Marilyn accepte un nouveau rôle, dans un film intitulé "Something's Got to Give" (Quelque chose doit craquer). Ce film aurait été le trentième film de Marilyn. "Aurait été", car il resta inachevé. Pendant les essais, Marilyn semble heureuse, et toute l'équipe est optimiste.

    Mais le premier jour du tournage, l'actrice est absente, pour cause de maladie. Sur des semaines de tournage, elle ne sera présente que quelques jours, souvent nerveuse, ou incapable de se souvenir de son texte. Le réalisateur (George Cukor) dut même mettre un filtre devant la caméra pour certains gros plans afin de masquer la fatigue de Marilyn.

      

    Le 19 mai 1962, Marilyn quitte le tournage pour s'envoler vers New York, où elle veut absolument être présente pour l'anniversaire de John Kennedy. Elle apparaît sur scène chancelante, ayant bu une bonne dose de champagne afin de se donner le courage de chanter son fameux "Happy Birthday Mr President". De retour à Hollywood, La Fox décide d'interrompre le tournage du film et renvoie Marilyn.
     

    Marilyn est déprimée, sous l'emprise des médicaments et de l'alcool, les nombreuses personnes l'ayant vue à cette époque la trouvèrent méconnaissable. Mais le 1er août 1962, la Fox décide de signer un nouveau contrat avec elle. Le tournage doit bientôt recommencer, Marilyn a de nombreux projets.

     

     

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    Le matin du 5 août 1962, Marilyn est retouvée morte sur son lit. Des boîtes vides de barbiturique sont retrouvées sur sa table de chevet. De nombreuses spéculations courent sur les causes du décès, et il est probable que nous ne sachions jamais ce qu'il s'est réellement passé. Suite à son autopsie, le rapport officiel conclut à un "suicide probable", néanmoins, de nombreuses incohérences ne font qu'augmenter les doutes. Marilyn aura connu une fin soudaine.

      

    C'est Joe DiMaggio, toujours amoureux d'elle, qui organisa ses obsèques, auxquelles aucune personne appartenant au monde du show-business n'aura le droit d'assister. Pendant des années, il fera fleurir la tombe de Marilyn.

    Malgré une mort précipitée, la petite Norma Jeane avait pu réaliser son rêve. Elle fut aimée, adulée, vénérée par des millions de personnes. Elle a marqué l'histoire du cinéma à jamais, et aujourd'hui, plus de quarante ans après sa mort, tout le monde se souvient encore d'elle.

     

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    SOURCES : SUGARKANE

    http://www.microsofttranslator.com/bv.aspx?from=fr&to=fr&a=http%3A%2F%2Fsugarkane.canalblog.com%2Farchives%2F2007%2F04%2F10%2F4588053.html

     

     

     

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    RESERVE PHOTOS

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  • Marilyn Monroe Let's Make Love 

     

     

     

     

     

     

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  • 40763156 

     

     

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    ~~~~ Ses préférances ~~~~ ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ .

      

      

    Couleurs:

    Beige, noir, blanc et rouge. Surtout le blanc.

      

      

    .Boisson:

    Dom Perignon 1953. "J'adore le champagne! Donnez-moi juste du champagne et de la bonne nourriture et je suis au paradis!"

      

      

    .Nourriture:

    La cuisine italienne.

     

      

    .Parfum:

    Chanel No. 5.

     

      

    .Produit de beauté:

    Nivea moisturizer.

      

      

    .Fleurs:

    les roses et les oeillets.

      

    .Restaurant:

    Romanoff's (à Hollywood)

     

      

    .Boutique:

    Bloomingdale's.
     

    .Acteurs:

    Clark Gable, Charlie Chaplin, Charles Laughton, Will Rogers, Cary Grant, John

    Barrymore, Tyrone Power et Richard Widmark.
     

      

    .Actrices:

    Greta Garbo, Jean Harlow, Ginger Rogers, Marie Dressler et Olivia DeHavilland.
     

      

    .Chanteuse:

    Ella Fitzgerald.
     

      

    .Chanteur:

     Frank Sinatra.
     

      

    .Musiciens:

    Louis Armstrong, Earl Bostick, Ludwig Van Beethoven et Wolfgang Amadeus Mozart.
     

      

    .Artistes:

    Goya, Picasso, El Greco, Michelangelo et Botticelli.
    .

      

    Pièce de theâtre:

    A Streetcar Named Desire (Un tramway nommé désir) et Death of a Salesman.
     

      

    .Dramaturges:

    Arthur Miller et Tennessee Williams.
     

      

    .Poetes:

    John Keats et Walt Whitman.

      

      

    .Livre:

    How Stanislavsky Directs par Michael Gorchakov.

      

      

    .Ecrivains:

    Fyodor Dostoyevsky, J.D. Salinger, George Bernard Shaw et Thomas Wolfe.

    .

      

    Heros:

    Albert Schweizer, Albert Einstein, Abraham Lincoln.
    .

      

    Ses meilleures performances:

    The Asphalt Jungle (Quand la ville dort) et Don't Bother to Knock (Troublez-moi ce soir).
     

      

    .Photographie:

    La séance de photos de Cecil Beaton où elle porte une robe blanche (voir photo ci-dessous).

      

      

    .Souvenir personnel:

    La Corée où elle se produisit sur scène en février 1954, chantant et dansant devant des milliers de soldats américains.

     

     

    Cette photo de Cecil Beaton prise en 1956, était l'une de ses préférées.
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    MARILYN À MANHATTAN - par Robert Lévesque

      

    Marilyn à Manhattan ou Marilyn chez Milton, c’est tout comme. Il y a eu entre la star inquiète qui ne voulait plus jouer les pépées d’Hollywood et ce jeune photographe new-yorkais inspiré – Milton H. Greene (1922-1985) – une histoire d’amitié certes et d’amour assurément (quoique les deux demeurèrent silencieux sur leur intimité), mais aussi de famille, Marilyn déclarant que les Greene furent « la seule famille » qu’elle ait eue…

      

    Les milliers de photos que Milton prit de Marilyn (elle a 27, 28, 29 ans), le jour, la nuit, en intérieur, en extérieur, sont de loin les plus belles de toutes. Vue par Greene, la Monroe n’est pas une bombe sexuelle, Marilyn se livre telle qu’elle veut être vue, espiègle, pensive, pudique ; c’est Norma Jean, la vraie…    

      

    Un documentaire , Marilyn malgré elle, nous la montre, nous la restitue telle qu’elle musardait, s’amusait, posait sans poser de questions et, dans la confiance, cabotinait en se déhanchant comme une femme caoutchouc ou passait une crinoline pour se faire ballerine à la Degas… Sans oublier la fameuse série de la « Black Session », noir sur noir, sa peau lumineuse qui tranche la nuit morelle dans des images quasi abstraites à la Soulages…

      

    Marilyn en noir et blanc, en muet, en beauté. Longtemps gardées à l’ombre quelque part en Pologne (c’est-à-dire nulle part…), « en attente dont on ne sait quel réveil », l' essentiel à la connaissance de Marilyn Monroe, on les voit enfin ces photographies jamais commercialisées par Greene…    

      

    « Peut-être Milton Greene a-t-il aimé Marilyn comme personne ne l’avait aimé avant lui », commente Miller, énième psy à tourner autour du mystère Marilyn, du miel Marilyn. C’était, en 1954, l’année à la fois du mariage et du divorce d’avec le boxeur un peu « nono » Joe di Maggio, et il y aura ensuite Arthur Miller (quand en 1956 elle tournera Bus Stop, que Greene et elle co-produisent avec une Fox un peu forcée par leur détermination et qui n’en peut mais…), Miller dont le mariage médiatisé durera trois ans et demi.

      

    Et il y aura à cette époque new-yorkaise (parenthèse fragile avant le déclin psychologique) un autre film, le second, le dernier que co-produiront Greene et elle avec Laurence Olivier (The Prince and the Showgirl), un Laurence Olivier méprisant, adversaire acharné de « la méthode » des Strasberg et de leur Actor’s Studio (le stanislavskisme, la recherche de l’émotion à l’intérieur de soi, un peu quelque chose de la cristallisation proustienne), approche qui l’a, elle, tant aidée, qui lui a tant permis d’approcher du travail véritable de l’artiste, du jeu senti, de la tragédie, autrement dit l’art, voulait-elle…, elle qui disait préférer obtenir « des rôles de composition ». Je pense qu’elle en avait plus que marre des rôles de décomposition qu’Hollywood lui offrait…    

      

    Chose certaine, ces quelques années passées à New York au milieu des années cinquante, la fréquentation de Milton Greene, ces photos-là, la petite place qu’elle prenait au dernier rang de la salle de l’Actor’s Studio, sage, attentive, ses 400 bouquins (vache, Arthur Miller déclara un jour qu’elle n’en avait lu qu’un seul en entier, un roman de Colette), le piano blanc de ses sept ans qu’elle avait retrouvé dans une vente aux enchères, et puis le printemps dans Manhattan et ses marches solitaires en manteau d’homme comme une Garbo jeune, tout ça que l’on voit, que l’on sent, que l’on devine, que l’on entend (cette voix de Marilyn qui fascinait tant Milton Greene, plus que son galbe), tout ça éclate comme un bonheur court et vif (tel un éclat rimbaldien) dans ce documentaire de Patrick Jeudy ; tout ça c’est le meilleur lot que l’on puisse trouver s’agissant de Marilyn Monroe dont la vie allait, ensuite, loin de New York, basculer dans le boulot, les barbituriques et l’absence totale de baraka…
     

    Robert Lévesque


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  • 20thcenturyfox

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  • TMC - programme des FILMS de MARILYN juin 2012

     

      

      

    Pour le cinquantenaire de sa disparition, TCM rend hommage à Marilyn Monroe en programmant le meilleur de sa filmographie ainsi qu’un documentaire sur la fin de sa vie. L’occasion de se persuader qu’au-delà de l’image de blonde pulpeuse et écervelée à laquelle Hollywood l’a réduite, elle fut non seulement une actrice très talentueuse mais aussi une femme d’une grande richesse intérieure.

     

    Il y a des signes qui ne trompent pas : dans les lycées français, sur un manuel d’Histoire dédié à la période contemporaine, c’est Marilyn Monroe qui figure en couverture ! La preuve que l’actrice la plus célèbre d’Hollywood est aujourd’hui considérée, au-delà du monde du spectacle, comme l’une des figures qui ont le plus marqué leur temps. Aujourd’hui, un demi-siècle après sa mort, si son nom et son image continuent de rapporter chaque année à ses ayant-droits des millions de dollars, il semble que l’icône pulpeuse et blondissime, plus vénérée pour sa plastique et son charme irrésistible que pour son talent et sa personnalité a laissé place à une artiste reconnue comme exceptionnelle.

     

     

    C’est dans cet esprit que pour célébrer le 50e anniversaire de sa disparition, TCM programme une sélection de ses films les plus emblématiques, dont Les Hommes préfèrent les blondes, Comment épouser un millionnaire, Niagara, La Rivière sans retour, Le Prince et la danseuse, et Les Désaxés. Une bonne occasion de poser un regard nouveau sur son travail de comédienne souvent très sous-estimé et jamais récompensé par le moindre Oscar (tout juste un Golden Globe pour Certains l’aiment chaud), ce dont elle se disait meurtrie. Une frustration d’autant plus légitime que Lee Strasberg, dont elle suivit les cours à l’Actor’s Studio, déclara qu’elle fut, avec Marlon Brando, son élève la plus bluffante, jugement flatteur confirmé par l’immense acteur Laurence Olivier et par des cinéastes majeurs comme Joseph L. Mankiewicz (qui fut le premier à repérer son talent) ou John Huston, Billy Wilder et autres Howard Hawks avec qui elle collabora.

     

     

    De toute évidence, outre l’obstination d’Hollywood à la réduire à l’image d’une jolie blonde écervelée, c’est aussi de sa mauvaise réputation qu’a souffert Marilyn Monroe, dont les caprices et les retards sur les tournages devaient moins à de la désinvolture qu’à une fragilité psychique héritée d’une enfance difficile et d’une mère schizophrène. D’où une addiction à l’alcool et aux psychotropes évoquée dans Marilyn Monroe : The Final Days, également diffusé par TCM, un excellent documentaire qui retrace les derniers mois de sa brève existence, avec le tournage chaotique et inachevé du Something Got To Give de George Cukor, et les circonstances toujours mystérieuses de sa mort. À travers des dizaines de témoignages d’acteurs, cinéastes, producteurs et autres personnalités qui l’ont côtoyée, on y trouve aussi un éclairage passionnant sur sa personnalité, plus riche et complexe que l’on aurait pu le croire, celle d’une femme passionnée d’art, de littérature et de philosophie comme l’a révélé récemment la publication de l’ouvrage Marilyn Monroe : Fragments, poèmes, écrits intimes, lettres.  « À Hollywood, on vous juge sur votre apparence, pas sur le reste » regrettait-elle. D’où, rétrospectivement, une impression de gâchis, même si le temps a fini par lui rendre justice.

     

     

    PROGRAMME :

     

    LA RIVIÈRE SANS RETOUR (Otto Preminger, 1954) à partir du 4 juin – VM HD Inédit

     

    Un homme, son fils de dix ans et la chanteuse de saloon qui l’a élevé descendent ensemble une rivière truffée de rapides. Derrière eux, les Indiens. Devant, le fiancé de la chanteuse, qui a frappé et volé l’homme. Ni Otto Preminger ni Marilyn Monroe ne voulaient faire ce film. Leurs contrats les y obligeaient. Le film connut un énorme succès, et est devenu un classique du western.


    QUAND LA VILLE DORT (John Huston, 1950) à partir du 5 juin – VM

     

    Fraîchement sorti de prison, Doc Riedenschneider projette le cambriolage d’une bijouterie. Il recrute Louis, perceur de coffres, le chauffeur Gus, Dix Handley comme homme de main et Emmerich afin de financer l’opération. Le film de John Huston donna naissance à un genre : le « caper movie », ou film de cambriolage.

     


    LES DÉSAXÉS (John Huston, 1960) à partir du 6 juin – VM HD

     

    Roslyn, venue divorcer à Reno, dans le Nevada, y rencontre Guido et Gay. Les deux amis tombent sous le charme de cette belle fille paumée. Tous les trois décident d’aller chasser le cheval sauvage. Dans leur aventure, ils vont embarquer un quatrième larron, Perce. Les Désaxés est davantage que le dernier film – achevé – de Marilyn Monroe et de Clark Gable : c’est une tragédie magnifique symbolisant la fin d’un certain cinéma hollywoodien. Une oeuvre déchirante.


    LES HOMMES PRÉFÈRENT LES BLONDES (Howard Hawks, 1953) à partir du 7 juin – VM HD Inédit

     

    Deux danseuses de cabaret, l’une blonde, l’autre brune, partent en croisière vers la France. La blonde, Lorelei, attirée par tout ce qui brille, est fiancée à un richissime héritier. La brune, Dorothy, est davantage guidée par ses sentiments. Un détective, embarqué incognito, est chargé de surveiller l’une. Il tombera amoureux de l’autre. Une comédie musicale rentrée dans la légende sur l’air de Diamonds are a Girl’s Best Friend.


    COMMENT ÉPOUSER UN MILLIONNAIRE (Jean Neguelsco, 1953) à partir du 8 juin – VM HD Inédit

     

    Trois mannequins new-yorkais – Marilyn Monroe, Betty Grable et Lauren Bacall – décident de mettre tout en oeuvre pour épouser un millionnaire. Alors qu’elles ont trouvé le candidat idéal, elles tombent amoureuses d’hommes plus modestes.

     

     


    LE PRINCE ET LA DANSEUSE (Laurence Olivier, 1957) à partir du 9 juin - HD Inédit

     

    1911. Le prince Charles, régent d’un petit Etat d’Europe, se rend à Londres. Il y fait la connaissance d’Elsie Marina, danseuse de cabaret, et en tombe amoureux. Pourtant, tout les sépare. En parallèle, les tensions politiques agitent le vieux continent. Certaines rumeurs veulent que Laurence Olivier fit vivre un enfer à sa partenaire. D’autres rapportent que c’est à cause du comportement difficile de Marilyn Monroe qu’il ne dirigea plus rien jusqu’en 1970.


    NIAGARA (Henry Hathaway, 1953) à partir du 10 juin – HD Inédit

     

    Les étranges rapports de Rose et George Loomis, couple en perdition au pied des chutes du Niagara. Un autre couple, les Cutler, seront les témoins de leur jeux adultérins qui iront jusqu’au meurtre. L’un des films qui, avec Les Hommes préfèrent les blondes et Comment épouser un millionnaire, construisit le mythe de Marilyn Monroe, alors en pleine ascension. L’un des plus gros succès de la 20th Century Fox en 1953.


     

    DOCUMENTAIRE

     

    MARILYN MONROE, LES DERNIERS JOURS (Patty Ivins Specht, ) à partir du 14 juin Ce documentaire retrace les derniers mois de sa brève existence, avec le tournage chaotique et inachevé du Something Got To Give de George Cukor, et les circonstances toujours mystérieuses de sa mort. À travers des dizaines de témoignages d’acteurs, cinéastes, producteurs et autres personnalités qui l’ont côtoyée, on y trouve aussi un éclairage passionnant sur sa personnalité, plus riche et complexe que l’on aurait pu le croire, celle d’une femme passionnée d’art, de littérature et de philosophie comme l’a révélé récemment la publication de l’ouvrage Marilyn Monroe : Fragments, poèmes, écrits intimes, lettres.  « À Hollywood, on vous juge sur votre apparence, pas sur le reste » regrettait-elle. D’où, rétrospectivement, une impression de gâchis, même si le temps a fini par lui rendre justice.


     

    Rédigé Mardi 10 avril 2012

     

     

    SOURCES : http://tcmcinema.fr/2012/04/10/marilyn-monroe-talent-gloire-et-beaute/#comment-2333

      

      

      

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    Arthur Miller sera le 3e et dernier mari de Marilyn.
      
    C'est un écrivain notamment connu pour avoir écrit la pièce de théâtre "Mort d'un commis voyageur".
      
    On raconte qu'il est fasciné par Marilyn et que c'est d'abord l'image de Pin Up qui l'a séduit plutôt que sa personnalité.  Ils seront mariés de 1956 à 1961.
      
    ■ Lors de son séjour à New York Marilyn fréquente un homme, il s'appelle Arthur Miller.Il est écrivain et il est marié.Au téléphone, Marilyn l'appelle à son hôtel sous le pseudonyme de Miss Lesly.
      
    ■ D'aparence Arthur est l'homme parfait pour Marilyn.
      
    Il est plus âgé qu'elle, il lui apportera la sécurité dont elle rêve tant, Marilyn a envie de faire sa vie, de fonder une famille.
      
    De plus c'est un homme cultivé et intelligent et on sait à quel point Marilyn se plait en compagnie d'intellectuels.
      
    ■ Une fois le divorce d'Arthur prononcé, Marilyn et Arthur vivent leur idylle au grand jour.
      
    Au début tout se passe bien mais très vite Arthur méprise Marilyn et se rend compte que la blonde sexy qui l'avait attiré a un caractère qui ne lui plaît pas vraiment.
      
    Pourtant Marilyn aime vraiment Arthur et fait de nombreux efforts pour lui plaire.
      
    Elle lit de nombreux livres pour améliorer sa culture générale, s'intéresse à son métier d'écrivain et ira même jusqu'à se convertir au Judaïsme.
      
    ■ Au cours de leur mariage Marilyn fera plusieurs fausses couches et Arthur ne sera pas toujours là pour lui apporter le soutien dont elle a tant besoin.Marilyn se tournera alors vers d'autres hommes, notamment Yves Montand.
      
    ■ En 1960 Arthur écrit un scénario pour Marilyn car ils ont besoin d'argent : Les désaxés.Sur le tournage l'ambiance n'est pas bonne et quand Marilyn voit le film pour la première fois elle déteste.
      
    ■ En 1961, après des années de disputes et de réconciliations ils divorcent et ne se reverront plus.
      
    Arthur ne sera pas présent aux funérailles de Marilyn.
      
    Le couple Monroe-Miller est assez étrange.
      
    On a du mal à comprendre et surtout à connaitre les sentiments d'Arthur envers Marilyn.On ne voit pas très bien ce qui l'a séduit chez elle puisqu'il dira plusieurs fois que c'était une femme sans intérêt et aura des mots très dur envers elle, notamment la légendaire phrase "On a envie de mourir lorsqu'on est avec elle !"
      
    ....peut être était-ce seulement pour le physique...
      
    En tous cas on ne voit pas très bien ce que ces deux là font ensemble...
      
    Pas étonnant que leur mariage n'ait pas duré et qu'ils ne se sont jamais revu après le divorce.
      
      

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    JO DI MAGGIO ..... balle de BASEBALL signée par MARILYN et JO DI MAGGIO

     

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    Cette balle dédicacée par Marilyn et Jo DiMaggio « themselves » date de 1952 !

    Et toujours en 52, même période, voici deux clichés de Marilyn avec les jours de l’équipe de Joe et un autre avec les femmes des joueurs !

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    On vient de l’apprendre, sous couvert d’une interprétation plus nuancée évidemment, que l’actrice aussi célèbre aujourd’hui qu’hier encore, ne devrait pas finalement sa disparition à son seul fait, elle en savait trop!

      

    On le savait depuis des années, des clichés de la star, plus ou moi victime et faisant des galipettes ici et là entre les frères « Kennedy » et toute la clique de « Sinatra »du Grand Las Vegas, circulaient déjà dans toutes les presses en manque d’inspiration.

     A l’époque, dit-on, « Frank Sinatra » les aurait pourtant brûlés, pensant que « Marilyn »  avait suffisamment souffert et déjà lâchement été exploitée. Dans les plus célèbres biographies de l’icône platine, on en parle également. Soulignant, les instants ou prisonnière, elle observait de loin son ex-mari le célèbre joueur de baseball « Joe DiMaggio » qui restait impuissant de l’autre côté des barrières de l’hôtel, parce qu’il n’y avait plus, semble-t-il de chambre disponible pour lui. Personne n’étant là-bas pour le vérifier, ce n’était que des commentaires.

    Pourtant, à partir d’un extrait de document (lui-même colporté d’une autre archive, par rapport à une déclaration d’une « Jacqueline Hammond » dans une autre enquête etc., qui aurait donc été commanditée en sous-terrain par le très peu libéral, « Edgar Hoover », directeur du « bureau des investigations » qui a « régné » jusqu’en 1972), on nous ressort aujourd’hui les grandes frasques prétendues de « Marilyn ».

      

    Elle se serait abandonnée dans des orgies sexuelles avec tout ce gratin de « peopl’ass ».

      

    A l’annonce de cette « nouvelle », qui semble, pour certains, être une mine à scandale, d’autres pensent automatiquement aux problèmes de politique et guerre froide, qui aurait pu soi-disant plomber l’administration américaine de l’époque si l’information avait été diffusée.

      

    Nous, comme on est très « people », et que ce qui nous intéresse c’est essentiellement ce que l’icône représente aujourd’hui, on est très heureux de constater que le mystère du glamour de « Marilyn Monroe » n’est pas en péril et continue de générer autant de lignes… Ainsi qu’elle l’aurait souhaité, amante ou , tel un diamant (à notre échelle dans le temps) elle est éternelle!

    On vous joint la « fameuse déclaration »!

      

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    Rien n'a changé depuis 1962.
      
    La fameuse piscine en forme de haricot et la végétation luxuriante sont toujours là. Un mur de deux mètres trente de haut entour la maison. Marilyn était protégée du monde extérieur. Les bougainvillées de l'époque rehaussent encore de leur teinte rouge les murs blancs de la villa. Marilyn apporta sa touche personnelle au jardin en plantant des buissons de fleurs, des plantes à bulbes venues d'Orient et des oliviers.
      
      
      
      
      
      
      
     
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    Voici la magie du sourire…  de 1945 à 62... Marilyn

      

     

     

     

      

      

    Beautiful Marilyn Monroe 1945 by Andre de Dienes

      

      

    Marilyn Monroe 1945 by Andre de Dienes

      

    Marilyn Monroe print by Andre de Dienes

      

      

     

     

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  • Marilyn, star de 1,61 m, trop voyante et trop vue, était bien trop à l’aise avec les médias pour ne pas faire peur aux autorités.

    Les ruses et les roueries des journalistes, des cinéastes et des photographes n’avaient plus de secrets pour elle. Parfaitement consciente de l’importance de son image, elle avait appris peu à peu à contrôler la circulation des informations et des clichés. Sa relation privilégiée avec les médias avait d’ailleurs commencé très tôt.

    En 1942, à seize ans, Norma Jean Baker épouse un brave et honnête garçon, Jim Dougherty, avec qui elle semble devoir commencer enfin une vie sans histoire. Mais la toute jeune femme est trop belle et trop sûre de sa beauté pour demeurer la petite ouvrière modèle qu'elle est alors dans une usine de parachutes.

    Remarquée par le photographe David Conover travaillant pour l'unité cinématographique des forces armées chargé de faire « en des endroits stratégiques des instantanés de jolies jeunes filles, susceptible de rehausser le moral au travail » et lui propose de travailler comme modèle : « Puis-je faire votre portrait ? Vous êtes formidable. Avec ces images, le moral des petits gars de notre armée sera toujours au beau fixe. », elle entreprend rapidement une carrière de cover-girl à 5 dollars par heure de pose qui lui vaut une petite célébrité et la pousse à abandonner sans trop de remords le pauvre Jim Dougherty pour des amants capables de la servir et, surtout, de lui donner à rêver. Elle ne guérira jamais de cette boulimie amoureuse qu'il serait injuste et profondément faux de mettre sur le compte exclusif de l'arrivisme, du cynisme ou de la nymphomanie.

    Tout au long de sa brève et tragique existence, Norma Jean Baker éprouvera ainsi l'irrépressible besoin de se donner et de retrouver inconsciemment la figure du père qu'elle n'a pas eu. C'est d'ailleurs probablement dans cet élan total (et suicidaire) ainsi que dans cette quête éperdue (et tragique) que réside le secret de son destin.


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    Présentation de l'album Golden Globes

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    Golden Globes : 141 photos

    Les photos de 1960 et 1962, lors de la remise d'un prix à Marilyn.

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     rock hudson (14)

    Marilyn et Rock HUDSON 

      

      

    http://paradisehunter.canalblog.com/albums/golden_globes/index.html#

     

     

     

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    1927

     

     

     

    Début de l'année

     

    Della souffrait de problèmes cardiaques et respiratoires et son état de santé commença à faiblir.

     

    Gladys s'était donc installée chez sa mère à Hawthorn:.

     

     

     

    La Consolidated Film Industries ayant fusionné avec la Bennett Film Labs, s'était installée sur Santa Monica Boulevard, ce qui pour Gladys, augmentait son temps de trajet (elle devait effectuer deux changements de trolley) pour se rendre à son travail.

     

    Elle quittera d'ailleurs rapidement son emploi.

     

     

     

    Fin du printemps

     

    Les problèmes respiratoires de Della s'étant aggravés par l'évolution de sa maladie cardiaque, elle plongea dans un état dépressif. Elle n'était soulagée qu'épisodiquement par les traitements qu'elle prenait.

     

    Son insuffisance respiratoire altérait par moments sa conscience, et elle pouvait passer de moments délirants à l'euphorie la plus complète. Gladys pouvait la laisser le matin, éteinte et larmoyante et la retrouver le soir, souriante et pleine d'allant. Pour Gladys, cela lui rappelait cruellement le comportement fantasque de son père, lors de ses dernières années (il était décédé en 1909 d'une démence secondaire à la syphilis).

     

     

     

    JUILLET

     

    Della était au plus mal : ses souvenirs se mêlaient à des hallucinations. Elle raconta à Gladys que ses parents, Tilford et Jennie Hogan () étaient venus à son secours et la ramèneraient chez elle. Elle se plaignit aussi du retour de son ex-mari, Charles Grainger, venu dit-elle, pour la violer.

     

    Quelques jours plus tard, elle se rua chez les Bolender pour voir sa petite-fille. Elle tambourina à la porte et furieuse de ne pas obtenir de réponse, elle brisa la vitre avec son coude.

     

    Il est aussi dit qu'elle aurait essayé d'étouffer sa petite fille avec un oreiller (souvenir raconté par Marilyn elle-même).

     

     

     

    AOUT

     

    Le jeudi 4 août, Della fut hospitalisée, en état de crise, au Norwalk State Hospital, où l'on diagnostiqua une myocardite aiguë.

     

     

     

    Elle mourut le mardi 23 août pendant une crise de démence, ce que Gladys et plus tard Marilyn, considéreront comme une malédiction familiale.

     

     

    Son certificat de décès, outre la myocardite aiguë, mentionnait également une psychose maniaco-dépressive:

     

     

     

    .

     

    Gladys avait en effet expliqué aux médecins que l'humeur de sa mère avait changée de manière imprévisible depuis quelques mois.

     

    Mais son dossier médical ne mentionnait aucune analyse psychiatrique ni neurologique.

     

    Il semblerait donc que Della soit décédée de sa maladie cardiaque, qui causa, par un déficit d'oxygénation, une souffrance cérébrale se manifestant par des troubles aigus du comportement.

     

     

     

    Tout comme son premier mari et père de Gladys, Otis Monroe, rien ne prouve chez Della l'existence d'une maladie mentale, mais plutôt des troubles comportementaux secondaires à une pathologie physique.

     

    Pour Gladys, et avec les éléments dont elle disposait à cette époque, le mythe de la démence familiale se faisait que se consolider.

     

    La mort de sa mère la déprima profondément. Enfermée dans le bungalow de sa mère, elle médita longuement.

     

     

     

    Elle décida ensuite de reprendre un emploi à Hollywood et obtint une place à la Columbia et à la RKO, deux studios de cinéma, où elle travaillait en semaine et le samedi.

     

     

     SOURCES ;  http://www.cursumperficio.net/1927.html

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    Marilyn Monroe : une robe blanche qui vaut de l'or !© DR
    Posthume, la robe que portait Marilyn Monroe dans Sept ans de réflexion n'a pas de prix. Ou plutôt si : plus de 4 millions de dollars !

    Le mythe de la femme à la robe blanche se soulevant alors qu'elle passe sur une bouche de métro parle à tout le monde... Comment ne pas connaître ? En 1955, Marilyn Monroe joue dans Sept ans de réflexion de Billy Wilder, un film qui restera culte pour une scène : celle on l'on découvre les jambes de Marilyn sous une fine robe blanche plissée réalisée par le costumier William Travilla, que l'on surnommera la "subway dress". Une pièce maîtresse de la collection d'objets ayant appartenu au 7e art que détenait jusqu'ici l'actrice américaine Debbie Reynolds, 79 ans, et qui ont été mis aux enchères la semaine dernière à Beverly Hills.

    Alors que la recette de la vente aurait atteint 28 millions de dollars, la cultissime robe de Marilyn Monroe en a rapporté à elle seule 1/6ème ! Estimée à environ 2 millions de dollars, un fan de l'actrice a pu se l'offrir pour la très modique somme de 4,6 millions de dollars, soit 3,2 millions d'euros. D'autres robes ayant connu le corps de la star ont été vendues, ainsi que la robe lamée or de l'actrice Barbara Streisand, 69 ans, qu'elle a porté dans Hello, Dolly en 1969, par exemple.

      

     

     

     

     

     

     

     

    La robe blanche de Marilyn Monroe va être mise aux enchères

    On se souvient tous de la fameuse robe blanche de Marilyn Monroe soufflée sur une bouche de métro dans le film Sept ans de réflexion. Cette robe maintes fois copiée depuis, fait réellement partie de la légende de cette actrice mythique...

    Cette robe va être mise de nouveau en vente. En effet l'actrice Debbie Reynolds, collectionneuse depuis cinquante ans de costumes du cinéma hollywoodien, a décidé de mettre sa collection en vente. Elle proposera dans cette vente cette belle robe blanche et celle çi a été estimée à pas moins de deux millions de dollars, et cela ne constitue qu'une estimation, les prix pouvant bien flamber...

    La vente proposera aussi d'autres costumes illustres du cinéma américain d'époque dont un chapeau de Charlie Chaplin et la robe d'Audrey Hepburn dans My fair Lady qui seront également mis aux enchères. La vente totale de ces costumes de légende pourraient atteindre tout de même cinq millions de dollars...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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