Marilyn Monroe in The Seven Year Itch (1955)
Bill Ray, New York City, 1962 Marilyn Monroe singing “Happy Birthday” to President John F. Kennedy
Marilyn, maîtresse épisodique de JFK depuis le milieu des années 50, n'aurait raté cet anniversaire pour rien au monde.
Quitte à défier la Fox, qui menace pourtant de la virer.
Il faut dire que la cérémonie intervient trois semaines après le début du tournage de Something's Got to Give et que, jusque-là, l'actrice qui se prétend malade n'a pas tourné grand-chose. La Fox refuse de lui donner quelques jours pour aller se pavaner sur la scène new-yorkaise !
Mais Marilyn est obsédée par cet anniversaire dont elle veut être LE CADEAU ! Elle a besoin de deux jours, c'est tout. Aussi demande-t-elle à Robert Kennedy, à qui il lui arrive de faire quelques gâteries au passage, de plaider sa cause auprès de Milton S. Gould, le patron de la Fox. Même l'attorney general des États-Unis se heurte à un refus. "C'est no !" Elle fait son job d'actrice ou elle est virée !
May 19, 1962: Marilyn Monroe is at a private party held in the East Side of New York for John F. Kennedy.
Le 17 mai, Marilyn est sur le plateau. Elle tourne, ou du moins essaie de tourner entre deux coupes de Dom Pérignon et les pilules de médicament qu'elle avale comme des cacahuètes. Soudain, un hélicoptère se pose à proximité. Peter Lawford en sort et l'entraîne à bord pour rallier New York. Qui aurait pu croire que Marilyn se plierait aux ordres de son employeur ? C'est elle, la star, yes or no ?
En fait, cette dingue de Marilyn s'est mis en tête de devenir la "First Lady !" À la place de Jackie qui, à côté d'elle, est aussi rigolote qu'une porte de prison, et aussi excitante qu'une carpette défraîchie. Non mais vous l'avez vue, cette madame Kennedy dont le profil est aussi plat que le désert Mohave ?
Alors qu'elle, la star préférée du mâle américain, a des formes dont la seule vue est capable de transformer un eunuque en DSK ! Du reste, en apprenant la venue de la blonde hollywoodienne à la soirée privée de son époux, Jackie a décidé de bouder la cérémonie.
Pour cette soirée très spéciale, Marilyn a commandé une robe à 12 000 dollars au couturier français Jean-Louis, cette même robe qui sera vendue plus d'un million de dollars 37 ans plus tard. Elle n'avait donné qu'une consigne au créateur : qu'elle soit si sexy qu'elle seule puisse la porter sur la planète, sans rien dessous.
Elle comporte vingt couches de soie, et dix-huit couturières consacrent sept jours à temps plein pour y coudre plusieurs milliers de pierres du Rhin scintillantes. Petit détail qui aura son importance : le fourreau est si étroit que Marilyn ne peut l'enfiler.
Il faudra le coudre sur elle, juste avant de monter en scène. C'est pour cela que, contrairement à son habitude, elle n'arrive pas en retard au Madison Square Garden où se déroule la "petite fête privée".
Debout sur un tabouret, dans sa loge, elle attend que les couturières lui greffent la fameuse robe. Ça y est, la voilà prête à bondir sur scène. Avant que ce soit son tour, elle sirote quelques coupes de Dom Pé tout en gobant quelques Smarties pharmaceutiques. Elle sait qu'elle est belle, même l'esprit embrumé.
Maria Callas, Ella Fitzgerald, Jimmy Durante, Peggy Lee et bien d'autres se sont déjà succédé sur scène. C'est à elle que revient d'achever le show. Des molosses viennent la chercher dans sa loge, étant donné qu'il lui est presque impossible de marcher dans sa robe, ils la soulèvent telle une poupée de porcelaine pour la déposer derrière le rideau de scène.
Elle entend Lawford l'annoncer. Morte de trac, elle prend une grande inspiration...
Mais qu'a-t-elle fait ? Les coutures de la robe n'ont pas résisté. "Shit !" Impossible d'apparaître devant les caméras à moitié à poil, car, effectivement, elle ne porte rien sous son fourreau.
Les fesses à l'air, elle retourne à sa loge. Les couturières s'affairent, Marilyn vide encore quelques coupes. Pendant ce temps, le brave Lawford l'annonce encore et encore. La voilà, enfin. Tonnerre d'applaudissements.
Personne ne lui en veut de son retard. Elle est si belle, si fragile, si attendrissante.
Elle s'approche du micro, le silence se fait dans la salle.
Visiblement, elle est éméchée, mais on la sent également très excitée à l'idée de chanter pour "The Prez" comme elle l'appelle. Elle prend son souffle. Et merde, sa robe recommence à craquer sur son fessier.
S'en rend-elle compte, absorbée par sa déclaration d'amour ? Son "Happy Birthday" est torride. Un ange passe... nu et en érection. Elle chante comme si elle faisait l'amour au président devant 15 000 personnes et 40 millions de téléspectateurs.
JFK, comme tous les hommes présents, ne rêve que d'une chose que la décence oblige à taire. Marilyn est aux anges, elle a fait sensation, c'est sûr, et bientôt, elle sera la First Lady. Son John va l'épouser. La malheureuse naïve.
Elle tombe de l'Everest cinq jours plus tard quand JFK la fait appeler par Peter Lawford pour lui annoncer que leur aventure est terminée, qu'elle ne doit plus le contacter. La voilà virée du cheptel comme une malpropre.
Elle devenait trop incontrôlable, trop dangereuse pour la réputation du président. L'actrice trahie implore, supplie, mais rien n'y fait. Elle ne sera jamais First Lady. Cerise sur le gâteau, elle est finalement licenciée par la Fox. Le château de cartes s'effondre. Elle ne le remontera jamais.
Le 4 août suivant, elle fait une ultime overdose, la dernière d'une très longue série. Suicide ? Assassinat ? Accident ? Le mystère demeure, 50 ans plus tard.
REGARDEZ Marilyn débiter son petit compliment musical :
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de RADIONOMY
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article
Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos
http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/19-mai-1962-
les-jolies-fesses-de-marilyn-monroe-fetent-le-45e-anniversaire-de-kennedy-19
Madison Square Garden, May 19th, 1962. Marilyn Monroe sang
"Happy Birthday Mr. President" to John F. Kennedy.
She was wearing a nude colored scandal designed by Jean Luis.
Bob Mackie illustrated the design
Madison Square Garden, May 19th, 1962. Marilyn Monroe
sang "Happy Birthday Mr. President" to John F. Kennedy.
She was wearing a nude colored scandal designed by Jean Luis.
Bob Mackie illustrated the design
Et maintenant, monsieur le président, mesdames et messieurs... Marilyn Monroe !" s'égosille l'acteur Peter Lawford, beau-frère de John Fitzgerald Kennedy, chargé d'annoncer les stars venues fêter les 45 ans du président. Personne ! La blonde se fait désirer.
Il raconte une petite blague et reprend : "Et maintenant..." Toujours personne. Et cela dure... Les 15 000 personnes présentes dans la salle n'en peuvent plus d'attendre le clou du spectacle. Un clou bien forgé... 40 millions de téléspectateurs sont rivés à leur petit écran. Suspense... "Ladies and gentlemen, the late Marilyn Monroe!" hurle pour la vingtième fois Lawford.
Cette fois, la star monte enfin sur scène dans une robe somptueuse. Tonnerre d'applaudissements.
Elle s'avance en sautillant vers le micro, se débarrasse de son étole d'hermine et entame avec hésitation "Happy Birthday, Mister President", qui entre immédiatement dans l'histoire.
Jean Louis, de son vrai nom Jean-Louis Berthault, est un créateur de costumes français,
né le 5 octobre 1907 à Paris et mort le 20 avril 1997 à Palm Springs (Californie).
Ayant fait l’essentiel de sa carrière à Hollywood, il est célèbre entre autres pour avoir créé la robe fourreau en satin noir de Rita Hayworth dans Gilda et la robe couleur chair que Marilyn Monroe portait le 19 mai 1962 lors de l’anniversaire de John Fitzgerald Kennedy au Madison Square Garden.
Biographie
Diplômé de l’École des Arts décoratifs, Jean-Louis Berthault fait ses débuts dans la couture chez Agnès Drecoll. Lors d’un séjour à New York en 1935, il est remarqué par la styliste Hattie Carnegie qui l’engage pour apporter une « touche » parisienne à ses collections. Il a comme premières clientes l’actrice Irene Dunne et Joan Cohn, la femme de Harry Cohn, fondateur de Columbia Pictures, ce qui va lui ouvrir les portes des studios hollywoodiens.
En 1943, il prend la direction du département costumes de la Columbia puis, quelques années plus tard, de celui d’Universal Pictures avant de s’installer à son compte, créant sa propre maison de confection. À partir de 1958, il travaillera surtout pour la United Artists.
Nommé 14 fois aux Oscars, il ne reçoit la statuette qu’une seule fois en 1957 pour Une Cadillac en or massif de Richard Quine.
Marié pendant plus de trente ans, il épouse à la mort de sa femme en 1987 l’actrice Loretta Young.
Il meurt à 89 ans le 20 avril 1997.
Jean Louis a conçu les robes de :
Ivory silk for the misfits by Jean Louis
DERNIERE JOURNEE
Il n'existe pas de réelles divergences de témoignages quant aux activités de Marilyn ce dernier jour.
Le principal désaccord porte sur le temps qu'elle passa avec le Dr Greenson. L'opinion la plus répandue est qu'il resta avec elle la plus grande partie de la journée, mais, selon certaines versions, il ne l'aurait rencontrée que durant 2 heures, en début de soirée.
Elle passa de nombreux appels téléphoniques; elle en reçut en revanche très peu, car Eunice Murray ne lui transmettait pas tous les appels.
La liste des personnes avec qui elle aurait eu une conversation est impressionnante. Nombreux sont ceux qui ont revendiqué avoir joué un rôle au cours de cette dernière journée, mais l'enregistrement des appels n'a pas été rendu public.
De la même façon, le nombre de projets que Marilyn aurait fait pour le lendemain est étonnant : rencontrer Sidney Skolsky, travailler sur le projet de film sur Jean Harlow, donner une conférence de presse afin de dénoncer les agissements des frères Kennedy...
Au cours de cette journée elle parla au téléphone avec Sidney Skolsky, Marlon Brando, Ralph Roberts, Joe DiMaggio Jr et Peter Lawford (informations avérées).
Le 3 août Pat Newcomb passa la nuit chez Marilyn. Marilyn se réveilla tôt le matin après une mauvaise nuit où elle avait très peu dormi.
8h : arrivée d'Eunice Murray pour sa journée de travail.
9h : Marilyn déjeune d'un verre de jus de pamplemousse. Au cours de la matinée, elle fait un peu de jardinage et réceptionne des plantes et une table qu'elle avait commandées.
10h : arrivée du photographe Lawrence Schiller pour regarder avec elle les photos faites sur le tournage de « Something's got to give » (scène de la piscine) - Marilyn en sélectionne quelques unes. Puis elle téléphone à des amis.
Midi : Pat Newcomb se lève . Eunice Murray prépare le déjeuner.
13h : arrivée de Ralph Greenson. Il reste avec Marilyn jusqu'à 19h.
15h : Greenson demande à Pat Newcomb de partir et à Eunice Murray d'emmener Marilyn pour une promenade sur la plage. Un témoin rapporte que Marilyn avait « visiblement absorbé quelque chose, car son pas était hésitant sur le sable ».
16h30 : Marilyn rentre pour suivre sa thérapie avec Dr Greenson.
Vers 17h : Peter Lawford appelle Marilyn et l'invite pour le dîner.
19h : le Dr Greenson quitte la maison et demande à Eunice Murray de rester pour la nuit.
19h15 : Joe DiMaggio Jr appelle, Marilyn est apparemment de bonne humeur.
19h45 : Peter Lawford rappelle pour confirmer le dîner. Alarmé par l'élocution pâteuse de Marilyn, il passe un certain nombre de coups de fil et finalement appelle l'avocat de Marilyn, Milton Rudin. Celui-ci parle à Eunice Murray, qui lui assure que Marilyn va bien.
A partir de là les événements s'embrouillent.
22h : l'agent de presse Arthur Jacobs, est informé au cours d'un concert au Hollywood Bowl, de la mort de Marilyn - bien qu'à 23h Milton Rudin eut affirmé à Joe Naar, l'agent de Peter Lawford, que Marilyn allait bien, qu'elle était simplement sous sédatifs.
ou bien :
3h : Eunice Murray se réveille et appelle le Dr Greenson, car elle s'inquiète de voir de la lumière filtrer sous la porte de Marilyn.
SOURCES
Superbe BLOG
http://www.cursumperficio.net/FicheD8.html
(;
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), au treizième étage, avec vue sur l’East River. Il se situait juste à côté de l’ancien appartement de Marilyn au 2 Sutton Place South (qui appartenait à Milton Greene).
Leur numéro de téléphone était dans l’annuaire.
Avec le décorateur John Moore, elle fit repeindre les murs en blanc et installer des miroirs du sol au plafond dans le salon-salle à manger, après avoir réuni les deux pièces.
La couleur dominante de l’appartement était le blanc : murs, rideaux, meubles de couleur pâle, piano blanc, canapé, fauteuils.
Marilyn n’était jamais satisfaite du résultat, et elle ne cessait de changer les meubles, les draperies, les accessoires ou les objets d’art, que ce soit à New York ou dans la villa louée pour l’été à Long Island.
Les pièces étaient envahies de livres, de disques. Il y avait aussi un bureau pour Arthur, mais il gardait néanmoins son studio à l’hôtel Chelsea, sur la 23ème rue.
sources
CURSUM PERFICIO
http://www.cursumperficio.net/1957.html
Marilyn Monroe
Auteur: Adam Victor
Date de sortie: février 2001
Relié 352 pages
Langue: français
Éditeur: Könemann
Prix éditeur: environ 15 Euros
ISBN-10: 3829052073
ISBN-13: 978-3829052078
Ou le commander ? sur amazon
Présentation de l'éditeur:
Marilyn Monroe figure incontestablement au panthéon des grandes stars du XXè siècle, mais la 'vraie' Marilyn reste un mystère sous bien des aspects. (...) Cette encyclopédie offre un accès facile à toutes les informations concernant l'actrice et son époque. Tous les événements de sa vie sont évoqués, depuis son enfance difficile et sa première carrière comme modèle, jusqu'à son ascension dans le monde de Hollywood, la création de sa maison de production, ses mariages (...)et sa mort prématurée. Tous les personnages ayant joué un rôle dans son existence sont répertoriés. (...)
Le lecteur trouvera également des informations complètes sur les films auxquels elle a participé. (...) Le livre donne un aperçu iconographique de la star avec 375 photographies dont 170 en couleur (...). Cet ouvrage donne aussi des informations concernant le mythe qui l'entoura dès le début de sa carrière et les instances qui ont aidé à perpétuer ce mythe, autant pour son bonheur que pour son malheur. (...) Cet ouvrage, illustré et agréable à lire, fera apparaître Marilyn Monroe sous un jour nouveau et représente un authentique témoignage de la légende qui porte son nom.
> Le livre version originale (en anglais):
The Marilyn Encyclopedia
1ère édition - Overlook Press - en 1999
Dernière édition - Gerald Duckworth & Co Ltd - en 2012
Tout fan de Marilyn se doit d'avoir ce livre dans sa bibliothèque ! Il s'agit d'une véritable "Bible" sur Marilyn; qui, comme son nom l'indique dans sa version originale en anglais, est une encyclopédie. Le livre se présente donc comme un dictionnaire (de la lettre A à Z) et évoque tout ce qui a un rapport à Marilyn (ses films, chansons, partenaires à l'écran, photographes, maris, amants, famille, lieux fréquentés ...).
Les articles sont fouillés, avec des anecdotes et citations (certains peuvent contenir de petites erreurs mais pardonnables), avec une multitude de références biographiques (l'auteur a fourni ici un travail remarquable de recherches) et l'ensemble est richement illustré (chaque photographie est par ailleurs légendée). LE livre à avoir absolument car il reste LA référence pour chaque fan de Marilyn (la version française n'est désormais plus éditée, mais vous pouvez vous le procurer d'occasion à bas prix).
SOURCES
http://divinemarilyn.canalblog.com/tag/ma%20collection
A cancelled bank check from the personal Bank of America
account of Marilyn Monroe. Made payable to Schwab’s Drugs
in the amount of $5.00.
Dated October 5, 1951, written entirely in Marilyn’s own hand.
Important activities in Marilyn’s life around this time include:
-Release of Love Nest – October 10 -Marilyn appears on the cover
of Look magazine for the first time – October 23
sources
http://themarilynmonroecollection.com/m
arilyn-monroe-signed-bank-check-october-5-1951/
http://www.youtube.com/watch?v=Ywctd793F-0
Le 05 août 1962, Marilyn Monroe, le plus grand sex symbol d'Hollywood, est retrouvée morte à son domicile, étendue au milieu de ses draps de satin.
On retrouve sur sa table de chevet des flacons de médicaments vides.
Si l'on conclu rapidement à un suicide par overdose médicamenteuse, le mystère continue de planer des années après.
Des experts réexaminent aujourd'hui son maigre dossier médical, son profil psychologique et son rapport d'autopsie..
Ils en retirent des conclusions pour le moins saisissants sur la vie et la mort de Marilyn
Marilyn Monroe in Gentlemen Prefer Blondes (1953)
Synopsis :
Dorothy la brune et Lorelei la blonde sont des danseuses de music-hall. Tandis que la première croit encore en l’amour désintéressé, sa meilleure amie ne jure que par la fortune matérielle de ses conquêtes successives. Parmi ces dernières se trouve le futur millionnaire Gus. Lorelei voudrait bien l’épouser lors d’un voyage prochain en Europe. Mais comme son fiancé est trop dépendant de son père, elle décide d’embarquer sans lui, avec Dorothy en tant que chaperon et toute l’équipe olympique à ses pieds.
Les Hommes préfèrent les blondes est bien plus qu’une pierre décisive à l’édifice du mythe de Marilyn Monroe. La séquence mille fois citée, notamment par Baz Luhrmann dans Moulin Rouge !, de « Diamonds are a girl’s best friend » met certes savamment en scène le pouvoir de séduction de l’actrice, entourée pour l’occasion d’un chandelier humain vêtu de latex et de George Chakiris, encore inconnu à l’époque.
Elle n’est pas pour autant symptomatique d’un film, qui s’approprie la guerre des sexes avec une désinvolture jubilatoire, contrairement à son contemporain, lui aussi porté par Monroe, le pesant Comment épouser un millionnaire de Jean Negulesco.
Car dans le duel féminin hautement électrique entre Jane Russell, la tête d’affiche, et Monroe, l’étoile montante, la véritable vedette est le regard irrévérencieux sur les rapports hommes/femmes de la part du scénario de Charles Lederer et de la
réalisation de Howard Hawks.
Les hommes y sont avant tout des objets, à malmener au bon vouloir de leurs pendants féminins.
Ce sont soit des benêts qui mettent un point d’honneur à perdre chaque confrontation verbale ou sentimentale, comme Gus, soit des complices, nullement dupes des ruses de Lorelei et Dorothy, qui acceptent volontairement de perdre un peu de leurs privilèges archaïques, en échange d’un signe d’affection chargé de sous-entendus plus ou moins érotiques, comme le détective Malone ou Henry Spofford III.
Pour un film du début des années 1950, une période nullement connue pour sa liberté de mœurs, les trouvailles équivoques surabondent d’ailleurs, d’une façon jamais plus flagrante que lors de la séance d’exercices sportifs, accomplis par des athlètes pratiquement nus, puisque leur seul habit est un caleçon couleur chair.
Face à eux, les personnages féminins tiennent subtilement les rênes d’une histoire, qui consiste essentiellement en de délicieuses leçons de séduction et autres quiproquos amenés avec un humour mordant, qui nous rappelle parfois les comédies sophistiquées des années ’30.
Désormais vieille de plus d’un demi-siècle, cette comédie musicale n’a rien perdu de sa superbe. Elle nous rappelle au contraire avec un charme désarmant que Jane Russell et Marilyn Monroe étaient bien plus que de simples symboles sexuels et que le cinéma de Howard Hawks, selon la légende l’un des réalisateurs les plus virils de la grande époque de Hollywood, était malgré les apparences très sensible à la cause des femmes.
Ce qui ne signifie pas pour autant que son film avait pour ambition principale autre chose que de divertir d’innombrables générations de spectateurs, passées, présentes et futures.
Quand à la paire de chaussures assortie à la robe et portée par Marilyn pour les photos promotionnelles (et non portées dans la séquence du numéro musical dans le film), on en découvre une dans le livret du single collector américain Music de Madonna, sorti en 2000. Pour l'album Music, Madonna adopta le style cow-boy, portant chemise à carreaux, jean et chapeau de cow-boy.
Pour les photos promotionnelles, on découvre la chanteuse posant notamment dans la paille; et il y figure cette photographie d'une chaussure à strass rouge perlée, disposée dans la paille, qui est bel et bien l'une de la paire portée par Marilyn.
cette comédie de Howard Hawks a su garder une fraîcheur pétillante, malheureusement absente de la copie usée, projetée à la Cinémathèque Française.
William Travilla...Costume Illustrator
Né le 22 mars 1920, décédé le 2 novembre 1997
Incroyablement doué pour le dessin, William Travilla entre dès l'âge de 8 ans à la prestigieuse Chouinard School of Arts de Los Angeles où il apprend à acquérir les canons de la beauté en dessinant des nus. Lorsqu'il a 16 ans, son grand'père décède et lui laisse un héritage assez conséquent pour lui permettre de voyager à travers le monde avec son cousin. Ils découvrent ensemble toutes les beautés des îles du Pacifique mais la guerre éclate et il doivent rentrer en Amérique.
Comme sa tante est actrice et que son mari est scénariste, il pense qu'il peut faire aussi carrière dans le monde du cinéma et part pour Hollywood en 1942. Là-bas, il fait de petites prestations pour des studios indépendants, pour Columbia et United Artists.
Pour arrondir ses fins de mois, il dessine des costumes de showgirls pour 5$ ou peint des fresques exotiques dans les restaurants où déjeunent les stars du grand écran.
blog
william TRAVILLA
http://williamtravilla.com/The-Man-Himself(849737).htm
However one of the most iconic and influential partnerships was between Marilyn Monroe and designer William Travilla. Travilla, who designed costumes for over eight of Monroe’s films, was responsible for both the hot pink silk evening dress worn by Monroe in the “Diamonds are a Girl’s Best Friend” sequence (later recreated by Madonna) and the famous white halter dress worn in the movie “Seven Year Itch”. Int the 1970s, he started to focus on TV, winning emmys for his work on Dallas.
However, his work on Gentlemen Prefer Blonds continue to be some of the best representation of 1950s contemporary American fashion (I would kill for Jane Russell’s black and white checked jacket with yellow lining).
Amazing Hats worn in the first scene of the movie. Hats were such a vital
part of a women’s wardrobe in the 1950s that designers often designed hats that coordinated with each outfit
Marilyn Monroe Costume Test Shoots
Pretty in pink! This Travilla designed pink dress is fitted & gored & made for a glam gal. Travilla was the designer who designed the infamous white dress for Marilyn Monroe in The Seven Year Itch.
Travilla's Marilyn Monroe costume sketches.
Travilla's Marilyn Monroe costume sketches.
Incroyablement doué pour le dessin, William Travilla entre dès l'âge de 8 ans à la prestigieuse Chouinard School of Arts de Los Angeles où il apprend à acquérir les canons de la beauté en dessinant des nus. Lorsqu'il a 16 ans, son grand'père décède et lui laisse un héritage assez conséquent pour lui permettre de voyager à travers le monde avec son cousin. Ils découvrent ensemble toutes les beautés des îles du Pacifique mais la guerre éclate et il doivent rentrer en Amérique. Comme sa tante est actrice et que son mari est scénariste, il pense qu'il peut faire aussi carrière dans le monde du cinéma et part pour Hollywood en 1942. Là-bas, il fait de petites prestations pour des studios indépendants, pour Columbia et United Artists. Pour arrondir ses fins de mois, il dessine des costumes de showgirls pour 5$ ou peint des fresques exotiques dans les restaurants où déjeunent les stars du grand écran.
Ann Sheridan remarque son talent et le fait engager dès 1945 à la Warner comme chef décorateur. Il devient alors le plus jeune styliste sous contrat chez eux, il n'a que 25 ans! Puis il change de studio en 1952, part pour la 20th Century Fox où il travaille sur des films de série B. C'est dans ces mêmes studios qu'il rencontre celle qui boulversera sa carrière : Marilyn Monroe.
Le hasard fait qu'elle lui demande d'emprunter une cabine d'essayage pour passer un de ses costumes et le jeune homme est subjugué devant une telle beauté. Il vient de trouver "Sa Muse". Il sait bien comment mettre en valeur les courbes féminines (puisqu'il les dessine depuis qu'il a 8ans) mais Marilyn n'a pas besoin qu'on la mette en valeur : il suffit juste de l'habiller avec quelques centimètres de tissus!
Désormais, le nom de William Travilla sera à jamais associé à l'actrice dont il fera les robes pour 8 de ses films.
Bien qu'il ai contribué aux succès de films de la 20th Century Fox, cette dernière ne lui renouvelle pas son contrat et Travilla se retrouve au chômage à la fin des années 60. Avec son ami Sarris, ils fondent la "Travilla INC" qui expose désormais dans les plus grandes villes d'Europe les robes portées à l'écran par Marilyn (encore à ce jour pour le plaisir de ses fans)
Il travaille une dernière fois pour un grand studio hollywoodien (la Paramount début année 70) puis se tourne définitivement vers le petit écran en créant des costumes pour des petites séries tv. En 1984, Travilla entre dans une série télévisée qui dure déjà depuis 6 ans : "Dallas" et il est récompensé pour ses nouvelles créations.
Plus de 100 films à son actif et 3 fois nominé pour :
"comment épouser un millionnaire" (1953)
"there no business like show buisiness" (1954)
"the stripper" (1963)
Il remportera un Oscar :
"les aventures de Don Juan" (1950)
Quelques unes de ses robes pour Marilyn à l'écran :
"bus stop"
"there no business like show business"
"les hommes préfèrent les blondes"
"comment épouser un millionnaire"
"7ans de réflexion"
"la rivière sans retour"
Il habillera aussi plus de 270 stars du cinéma dont :
Jane Russel - Marlene Dietrich - Loretta Young
Costumes pour quelques films
"la vallée des poupées"
Costumes Johanne Woodword dans "Wusa"
Costume Katy Jurado dans "la lance brisée"
Parmi ses films les plus connus :
Années 40 :
nuit et jour - la bête aux 5 doigts - le loup des 7 collines - la rivière d'argent - les aventures de Don Juan - boulevard des passions - le grand tourbillon - les desperados - le bon vieux Sam
Années 50 :
la porte s'ouvre - la cible humaine - la bonne combine - panique dans la rue - l'oiseau de paradis - sur la riviera - le jour où la terre s'arrêta - l'attaque de la malle poste - chérie, je me sens rajeunir - viva Zapata! - les hommes préfèrent les blondes - comment épouser un millionnaire - la veuve noire - la joyeuse parade - la rivière sans retour - le jardin du diable - la lance brisée - 7 ans de réflexion - la main gauche du seigneur - les implacables - les hommes épousent les brunes - la mousson - bungalows pour femmes - bus stop
Années 60 :
du haut de la terrasse - la vallée des poupées - l'étrangleur de Boston
Années 70 :
Wusa
Années 80 :
Caboblanco
Quelques photos de films :
SOURCES
http://ideyvonne2.canalblog.com/archives/2010/07/23/18650399.html
Marilyn Monroe
Travilla's Marilyn Monroe costume sketches.
Travilla's Marilyn Monroe costume sketches.
Gold dress Marilyn Monroe
"Sunburst" dress, originally designed for a scene in "Gentlemen Prefer Blondes" but was deigned too risque for the screen. You see it briefly in a scene when she's dancing, from memory, I think with Piggy. The dress did however become famous after being featured in a photoshoot by Gene Kornman. Some of the most iconic images of Marilyn.
Marilyn's Iconic Gold Dress.
Travilla Costume Design for Marilyn's "Sunburst" Dress in
"Gentlemen Prefer Blondes" by thefoxling, via Flickr
Travilla's original design for Marilyn in "Gentlemen prefer blonds"
A Version of Marilyn Monroe's "Sunburst" Dress from
"Gentlemen Prefer Blondes" by thefoxling, via Flickr
A Version of Marilyn Monroe's "Sunburst" Dress from
"Gentlemen Prefer Blondes" by thefoxling, via Flickr
singing in that dress for Pres kennedy at MSG wow wow wow
Madison Square Garden, May 19th, 1962. Marilyn Monroe
sang "Happy Birthday Mr. President" to John F. Kennedy.
She was wearing a nude colored scandal designed by Jean Luis.
Bob Mackie illustrated the design
Marilyn Monroe wearing Jean Louis 2500 rhinestone gown,
that she wore when she famously sung ‘Happy Birthday…Mr President’
to JFK at Madison Square Garden, May 29th 1962.
- THE "HAPPY BIRTHDAY MR. PRESIDENT" DRESS A full length evening
sheath dress of flesh-colored soufflé gauze encrusted with graduated rhinestones
embroidered in a rosette motif.
Worn by Marilyn Monroe at the famous birthday tribute
to President John F. Kennedy at Madison Square Garden where
Marilyn sang "Happy Birthday Mr. President" on May 19. 1962.
JFK at the Garden Marilyn Monroe Sings 'Happy Birthday' t
o JFK, May 19, 1962: A Photographer Remembers - LIFE
The dress worn by Marilyn Monroe at the New York Birthday Salute to President Kennedy.
Source: Christie's Auction House October 1999
Dissimulations
L'un des aspects sur lequel tous les biographes sont d'accord, est que, au cours de la nuit du 4 août 1962, un certain nombre d'éléments permettant d'établir les vraies circonstances de la mort de Marilyn furent dissimulés aux divers enquêteurs.
Gloria Steinem fait à ce sujet le commentaire suivant : « Il s'agit de la dissimulation d'un « non-crime » : l'existence d'une relation personnelle entre Marilyn et Robert et John Kennedy.
Sa théorie met également en avant d'une part le fait que Peter Lawford se serait appliqué à supprimer tout indice gênant, dont un éventuel message de Marilyn relatif à son suicide, et d'autre part le fait qu'Eunice Murray entreprit de mettre de l'ordre dans la maison, alors même que la police était sur les lieux (Jack Clemmons remarqua même qu'elle avait mis le lave-linge en route).
RFK et Peter Lawford ont peut être essayé de réanimer Marilyn après son ingestion massive de médicaments.
Les chauffeurs de l'ambulance ont déclaré à Anthony Summers qu'ils transportèrent le corps sans vie de Marilyn au Santa Monica Hospital, pour la ramener chez elle peu de temps après. La police n'arriva sur les lieux que 2 ou 3h après le moment présumé de la mort de Marilyn.
Donald Spoto pense qu'il faut ajouter à Eunice Murray, le Dr Greenson et le Dr Hyman Engelberg parmi les personnes qui ont rangé la maison de Marilyn avant l'arrivée de la police. Ils essayaient à son avis, de dissimuler le lavement fatal qui lui fut malencontreusement administré pour la calmer.
Selon cette hypothèse, Greenson serait entré par effraction, en cassant une vitre, dans la chambre de Marilyn, aurait arraché les rideaux noirs que Marilyn avait fait placer pour occulter complètement la lumière et aurait supprimé toute trace du lavement administré par erreur et ayant entraîné la mort de Marilyn.
Hal Conners, pilote d'hélicoptère, fait partie des nombreux autres acteurs mystérieux impliqués dans ce drame. Il aurait emmené Robert Kennedy depuis la maison de Peter Lawford jusqu'au terminal de départ de la TWA à LAX (aéroport international de Los Angeles), tôt le matin du 5 août 1962. Selon son copilote, Jim Zonlick, Conners embarqua Robert Kennedy entre minuit et 2h, et l'emmena à Gilroy, en Californie, où il séjournait chez John Bates.
SOURCES
http://www.cursumperficio.net/FicheD13.html
A LIRE
Wolfe Donald. « Marilyn
Monroe : enquête sur un assassinat ». Editions Albin
Michel. 1998
Summers Anthony. « Les
vies secrètes de Marilyn Monroe ». Editions Presses de la Renaissance. 1986
Spoto Donald. «
Marilyn Monroe ». Editions Pocket.
1993
A natural mink collar with brown satin lining. An obvious favorite, Marilyn wore this fur regularly when living in New York City, an
d also during at least two Milton Greene photo shoots, one being the famous Edward R. Murrow session, which was shot at his home prior to Marilyn’s now famous appearance on his television show. On another occasion, Marilyn was interviewed wearing this collar at Milton Greene’s studio, located at 480 Lexington Avenue in New York.
She’s also pictured wearing the collar on several other occasions, including while off the movie set in England when filming “The Prince and The Showgirl.”
From the 1999 Christie’s Auction, The Personal Property of Marilyn Monroe, a brown and beige paisley Pucci belt, size 10.
History does not relate when Marilyn discovered the brilliant colors and easy shapes of the Italian house of Pucci. Founded in 1947 by Emilio Pucci, scion of a venerable Italian Florentine family, the first designs Pucci made were for skiwear, which is hardly surprising as he was a member of the Italian Olympic ski team.
From the first jewel colored prints, inspired by motifs from the Italian Renaissance, to the ultimate simplicity of little silk jersey shifts, Pucci was one of the hottest looks of the early sixties.
Marilyn collected Pucci items in multiples; if she didn’t have a dress in every color, she certainly had one in every other shade.
She favored a palette of flesh tones, of leafy greens or of shocking pinks and mauves with occasional excursions into deep blues. Unlike her ‘working’ daytime wardrobe, which was predominantly black, these were clothes for Marilyn to play in, and by the beginning of the sixties had replaced the natural colored chambrays, the capri pants and matching shirts she had worn throughout the mid to late fifties.
Looking at Marilyn’s Pucci wardrobe today, it is astonishing how contemporary it seems; the feather light dresses cut as simply as T-shirts; the silk shirts in brilliant colored jewel prints, designed to be worn, as Marilyn did with simple white pants or with jeans, are of today, not of yesterday.
Marilyn is said to have been buried in the green Pucci dress she wore while in Mexico in February, 1962, shown below.
Provenance:
Christie’s New York: The Personal Property of Marilyn Monroe, October 27-28, 1999. Click here to buy your copy of the Christie’s auction catalog for the sale of Marilyn Monroe’s personal items.
From the 1999 Christie’s Auction, The Personal Property of Marilyn Monroe, a green silk Pucci belt, with tassels consisting of colored glass beads.
Buried in a Green Pucci Dress: Marilyn is said to have been buried in the green Pucci dress she wore while in Mexico in February, 1962, shown at right.
From the book “Marilyn: The Last Months” by Eunice Murray:
Eunice visited the house on Fifth Helena one more time before the funeral. On Tuesday, clothes had to be selected for the services on Wednesday.
Although this was the task of Marilyn’s half-sister, Bernice Miracle, Eunice was called in by estate executrix Inez Melson to show the two women where things were.
The mortician was in attendance also, a quilted satin folder across his arm on which to lay the garments. The house seemed strangely silent as the party of four filed solemnly into Marilyn’s bedroom.
Eunice walked over to the wardrobe closet and pointed out the dresses. Mrs. Miracle began to sort through them, a look of confidence on her face. The others stood waiting for her choice.
“Where are the blue dresses?” Mrs. Miracle finally turned to ask. “There are no blue dresses,” Eunice said. “No blue dresses? But that was her favorite color. She always wore blue when I knew her.” “Not lately,” Eunice replied.
Mrs. Miracle seemed at a loss, not so sure at all anymore. “She always liked blue,” she repeated as she sorted through the rack helplessly. But it had been several years since Marilyn and her half-sister had been close, and that had been only for a brief while.
“Perhaps Mrs. Murray would show us her favorite dress,” Mrs. Melson said. Eunice stepped forward and took the pale green Pucci from the rack. She could still see Marilyn radiant in the dress at the press conference in Mexico City. It was the dress about which Marilyn had quipped to reporters, “You should see it on a hanger.”
It was on a hanger now, and its lines were straight up and down, formless all by itself. Marilyn’s own shape would provide the curves of her last garment.
Eunice walked across the room and laid the dress on the queen-sized bed for the others to examine. Mrs. Miracle and Mrs. Melson stood together at the foot of the bed, Eunice on one side and the mortician on the other. Mrs. Miracle approved the dress. She handed it to Mrs. Melson. “This will do,” she said.
History does not relate when Marilyn discovered the brilliant colors and easy shapes of the Italian house of Pucci. Founded in 1947 by Emilio Pucci, scion of a venerable Italian Florentine family, the first designs Pucci made were for skiwear, which is hardly surprising as he was a member of the Italian Olympic ski team. From the first jewel colored prints, inspired by motifs from the Italian Renaissance, to the ultimate simplicity of little silk jersey shifts, Pucci was one of the hottest looks of the early sixties.
Marilyn collected Pucci items in multiples; if she didn’t have a dress in every color, she certainly had one in every other shade. She favored a palette of flesh tones, of leafy greens or of shocking pinks and mauves with occasional excursions into deep blues.
Unlike her ‘working’ daytime wardrobe, which was predominantly black, these were clothes for Marilyn to play in, and by the beginning of the sixties had replaced the natural colored chambrays, the capri pants and matching shirts she had worn throughout the mid to late fifties.
Looking at Marilyn’s Pucci wardrobe today, it is astonishing how contemporary it seems; the feather light dresses cut as simply as T-shirts; the silk shirts in brilliant colored jewel prints, designed to be worn, as Marilyn did with simple white pants or with jeans, are of today, not of yesterday.
Provenance:
Christie’s New York: The Personal Property of Marilyn Monroe, October 27-28, 1999. Click here to buy your copy of the Christie’s auction catalog for the sale of Marilyn Monroe’s personal items.
http://themarilynmonroecollection.com/marilyn-monroe-green-pucci-belt/
A simple yet stunningly beautiful necklace owned by Marilyn Monroe,
consisting of emerald toned beads, measuring 36″ in length
with a gold toned clasp.
This necklace sold in 1999 at the now famous Christie’s sale,
“The Personal Property of Marilyn Monroe.”
This green necklace is showcased as part of lot #138 in the 1999
Christie’s auction catalog: “The Personal Property of Marilyn Monroe.”
Jean Louis, couturier
Provenance:
Christie’s New York: The Personal Property of Marilyn Monroe, October 27-28, 1999. Click here to buy your copy of the Christie’s auction catalog for the sale of Marilyn Monroe’s personal items.
MASTERS George
Date de naissance: 1er avril 1936, à Detroit, Michigan.
Date de décès : 6 mars 1998, à Los Angeles, Californie.
Exercice : coiffeur.
Histoire
Il fut l'un des coiffeurs préférés de Marilyn pendant les dernières années, et celui d'un grand nombre de stars :
En 1962 il accompagna Marilyn au Mexique (), où elle donna une conférence de presse et acheta des meubles.
Mais le vrai souci de Marilyn, ce sont ses cheveux. Leur ondulation naturelle rend la tâche ardue à tous ses coiffeurs, qui avant toute nouvelle coupe doivent d'abord défriser les boucles rebelles. Autre sujet de préoccupation : quelle blondeur adopter ?
Alors qu'elle est encore mannequin, Marilyn se bat longuement contre Emmeline Snively, la directrice de l'agence à laquelle elle appartient : cette dernière souhaite que sa nouvelle recrue renonce à sa belle chevelure châtain.
Mais malgré son immense désir de devenir actrice, Marilyn refuse d'être une décolorée de plus.
Elle finit pourtant par céder, et... convient elle-même de la réussite de la transformation !
Dès lors, Marilyn va passer par toutes les nuances de blond : cendré dans Quand la ville dort, solaire dans Niagara, platine dans Certains l'aiment chaud et presque blanc dans Quelque chose doit craquer, son dernier film.
Seule exception à la règle : la chevelure presque rousse arborée par la star dans Le prince et la danseuse... Lors du tournage d'Arrêt d'autobus, la blondeur est tellement devenue la marque de fabrique de Marilyn, que celle-ci exigera que les cheveux naturellement blonds de sa partenaire Hope Lange soient un peu foncés, afin de ne pas ternir l'éclat de sa propre chevelure !
Mais qu'on ne s'y trompe pas : les cheveux n'ont d'importance pour Marilyn qu'à titre d'écrin.
Comme l'a déclaré l'un de ses coiffeurs, George Masters :
«Si je l'avais coiffée de manière à provoquer des remarques du type :
"vos cheveux sont superbes", je ne l'aurais jamais revue. Elle ne voulait pas qu'on lui dise "votre coiffure est magnifique", mais "vous êtes magnifique"» !
http://marilynmonroe.ek.la/blonde-s-a1679229
Le paradoxe de Marilyn, selon Georges Masters (célèbre maquilleur à Hollywood), c'est que "plus elle est maquillée, plus elle semble naturelle!". Marilyn utilise un peu de base, une touche de fond de teint très blanc, de la poudre, du blush (un nuage), du rouge à lèvres et des faux-cils. Les paupières sont creusées à l'ombre blanc-argent, rehaussées d'eye-liner (Marilyn adorait le regard de Marlène Dietrich), son grain de beauté est souligné au pinceau. C'est le look "blanc-sur-blanc" (cheveux cendrés sur peau crémeuse) que Marilyn baptisait "taie d'oreiller"!... Georges Masters tint aussi ces paroles: “Quand on la maquillait ou que je la coiffais, il se produisait en elle un changement extraordinaire, et elle devenait “Marilyn Monroe”. Sa voix changeait, son attitude et ses gestes n’étaient plus les mêmes, elle cessait d’être la banale fille en jeans délavé et en chemise froissée de tous les jours. Je n’ai jamais assisté à une telle métamorphose. Elle était fantastique! Elle savait exactement se mouler dans l’image que le public voulait voir.” |
Marilyn photographed with her hairdresser Kenneth by Eve Arnold, 1961.
Marilyn and hair dresser Kenneth by Eve Arnold in 1961.
Marilyn Monroe publicity photo for “All About Eve”, 1950. Photographed by Laszio Willinger.
Vidéo et Paroles de la chanson
Runnin' Wild
interprétée par Marilyn Monroe
dans le film Certains l'aiment chaud en 1959
Runnin' Wild
Lost Control
Runnin' Wild
Mightly Bold
Feelin Gay
Boisterous too
Carefree mind
All the time
Never Blue !
Always going
Don't know where
Always showing
I don't care
Don't love nobody
It's not worthwhile
All alone
Runnin' Wild !
Traduction
Course Libre
Course libre, sans contrôle
Course libre, sans aucune peur,
Me sentant heureuse, également imprudente,
L’esprit insouciant, tout le temps
jamais triste !
Allant toujours, je ne sais où,
Toujours m’exhiber, ça m’est égal
Je n'aime personne, ça n'en vaut pas la peine,
Toute seule, course libre !
>> Bonus Infos
http://divinemarilyn.canalblog.com/tag/chansons