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TROUBLEZ-MOI CE SOIR (DON'T BOTHER TO KNOCK) de Roy Baker
Après avoir lu, dans ce forum, plusieurs avis positifs sur ce film totalement inconnu avec Marilyn Monroe, j'ai tenté moi aussi l'expérience. Et s'il n'est finalement pas un très grand film, c'est quand même très intéressant de le voir car il a plein de qualités.
Déjà sur Marilyn, avec ce rôle assez complexe et aussi un peu prémonitoire. Cette fille change de mentalité plusieurs fois dans le film, et c'est plutôt bien rendu par Marilyn qui dès le début apparait comme tourmentée, bizarre, cachant quelque chose.
Elle n'est pas encore l'icone glamour qu'elle représentera plus tard mais on sent dès ce premier premier rôle qu'elle peut jouer autre chose que des rôles superficiels que sa plastique contenterait. Je savais qu'elle avait de l'ambition du point de vue du jeu d'acteur.
Anne Bancroft et Richard Widmark.
Avec Donna Corcoran et Jim Backus
Si ici ce n'est pas encore parfait (certains regards sont un peu too much par exemple), elle s'en sort plutôt bien.
L'intrigue en elle-même est plutôt sage mais permet de proposer un personnage de femme instable relativement original dans la façon dont elle est présentée (on soupçonne quelque chose mais c'est plus du ressenti que de l'objectif car elle a l'air très normale au début).
La relation entre Widmark et Marilyn est intéressante. J'ai bien aimé cette mise en place avec le jeu des fenêtres d'un immeuble à l'autre. Par contre la relation entre Widmark et Ann Bancroft est moins originale et plus simplifiée, plus dans le cadre Hollywoodien.
Comme quoi il y a encore de jolies découvertes à faire même avec une icone archi connue. Et cerise sur le gâteau le master a pour le coup été vraiment restauré (collection Marilyn oblige ?).
Rares poussière et taches, quelques images instables, sinon contrastes très bien gérés, petit grain argentique que j'aime et surtout définition irréprochable. Dommage que la Fox n'ait pas fait le même travail avec la majorité de ses autres classiques (je parle surtout du piqué des images relativement mou sur beaucoup de titres)...
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Niagara (1953) - Henry Hathaway
Un couple part en lune de miel aux chutes du Niagara et font la rencontre des occupants de leur bungalow, un couple dont le mari semble malade et la femme infidèle
Henry Hathaway signe ici un superbe film noir dans des couleurs resplendissantes, nous sommes à la fois dans une dimension documentaire avec les chutes du Niagara et leur environnement magnifié, le clocher qui joue des musiques à la demande, la visite des chutes que ce soit en bateau ou par des excursions au sein même de celle-ci. Les chutes sont filmées de tous les côtés et Hathaway restitue leur beauté, et leur majesté. Il y a aussi ces plans extraordinaires de la scène du clocher et de la poursuite ou cette vision une fois encore des chutes à travers les fenêtres du bungalow ! Ce qui est intéressant c'est que le film fonctionne beaucoup sur des non-dits, on ne sait pas pourquoi le couple est en crise, si l'homme est réellement malade ou s'il n'est que jaloux de sa femme qui entretient cet état de dépression !Il y a aussi cet érotisme qui ressort de ce personnage qui apparaît la première fois lascive dans son lit, visiblement nue sous les draps, et qui une seconde fois apparaît dans le lit de son mari sans doute après une réconciliation.
Il y a aussi ses tenues, robes ultra-moulantes, démarche ondulante, tout de la parfaite femme fatale.
Marilyn Monroe montre ici qu'elle n'était pas destinée qu'à jouer des blondes écervelées et pouvait aussi se permettre de jouer les femmes fatales. Sa composition est assez intéressante, notamment quand elle devient cette épouse traquée.
Joseph Cotten est touchant en homme malheureux et qui n'arrivera au pire que par amour. Ce qui est intéressant aussi dans l'histoire est cette interaction entre ce couple juste marié et ce couple en crise, Jean Peters est excellente dans ce rôle de jeune femme qui montre d'abord de la compassion et de l'intérêt pour le mari névrosé puis de la peur.
Le final est curieux par contre, cette chasse à l'homme sur le fleuve menant aux chutes, dénote un peu du reste du film, même si elle permet de comprendre un peu plus le malheur de cet époux trompé.
Bref Niagara est un très beau film et la copie proposée par Fox est absolument sublime, ce qui ajoute à l'intérêt du film. Très belle découverte !
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La robe blanche de Marilyn dans "Sept ans de réflexion", l'un des costumes les plus célèbres de l'histoire d'Hollywood, sera vendue aux enchères en mai 2011 avec le reste de la collection de memorabilia de Debbie Reynolds. La justice américaine oblige Debbie Reynolds à se séparer de sa collection pour payer les dettes du musée qu'elle projetait mais n'a jamais pu construire...
La robe aujourd'hui (56 ans après le tournage du film) :
Marilyn dans sa robe (une photo très rare que je trouve sublime), un peu comme la Victoire de Samothrace :
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
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Marilyn à Jersey
Une exposition des robes de Marilyn Monroe, indédite, va agrémenter un peu plus les Week end à Jersey. Du 25 mars à fin décembre, l'île anglo-normande va vibrer au rythme de "Certains l'aiment chaud".
L’île de Jersey va vivre une grande première avec cette exposition unique : la plus grande collection de costumes originaux de Marilyn Monroe jamais constituée à ce jour sera exposée pour la première fois, au Musée de Jersey à St Hélier.Les dix-neuf pièces toutes portées par Marilyn, étiquetées du label du studio prouvant leur authenticité, sont la propriété de David Gainsborough-Roberts, collectionneur invétéré de Jersey. Dans un espace spécialement aménagé, elles nous montrent Marilyn sous un jour nouveau, avec beaucoup de nostalgie.L’exposition présente accessoires et robes portés dans les films suivants :- The Fireball (1950) Marilyn n’y tient qu’un petit rôle en la personne de Polly.De 1946 à 1950 est l’époque où Marilyn Monroe gagne sa vie en tant que mannequin. -Niagara (1952), son premier gros succès dans lequel tous ses costumes ont été dessinés dans le but d’accentuer ses courbes.Elle y éclipsera même les chutes du Niagara, pourtant l’attraction principale de ce film en Technicolor grâce à son déhanché culte lors de la plus longue marche de l’histoire du cinéma. Robe rose et négligé en soie noire.- Les Hommes préfèrent les Blondes (1953)La 20th Century Fox a utilisé ce film pour présenter Marilyn comme nouveau sex symbol d’Hollywood. Justaucorps en soie noire et chapeau assorti.- Comment Epouser un Millionnaire (1953) Une paire de faux diamants et de boucles d’oreilles portées par Marilyn à plusieurs reprises.- La Joyeuse Parade (1954) Une robe très élaborée et très sexy, garnie d’un panneau pour recouvrir la jambe de Marilyn pour les scènes tournées à destination des pays où la nudité est interdite. Un costume de bain des années 1950s et un bonnet de bain en forme de fleur. - Sept ans de réflexion (1955) Une paire de longs gants noirs.C’est après ce film rendu célèbre par la scène culte de la robe qui s’envole au dessus de la bouche de métro, que Marilyn décide de s’installer à New York pour y fonder sa propre société de production, afin de tenter d’échapper à son image d’éternelle blonde sexy.- Bus Stop (1956) Costume en satin vert et une blouse à lacets noire. Un rôle qui lui vaudra un Golden Globe.- Le Prince et la Danseuse (1957) Fourrure et robe de soirée en soie blanche. Le seul film qu’elle ait tourné du temps de sa propre société de production.- Certains l’aiment chaud (1959) Une robe de cocktail noire dessinée par Orry-Kelly, célèbre styliste qui a travaillé pour les plus grand studios et a remporté un Oscar pour les costumes de ce film. Sa robe était si serrée qu’elle était obligée de se faire soulever pour s’asseoir sur le piano.- Le Milliardaire (1960) Une blouse en soie rose. Son avant-dernier film, avec Yves Montand, mais qui fut un flop dans le box office.- Les Désaxés (1961) Le bikini porté par Marilyn dans le rôle spécifiquement écrit pour elle par son mari Arthur Miller.- Un costume porté pour Life magazine en 1958 pour une photo réalisée par Richard Avedon. Marilyn a travaillé avec de nombreux photographes de talent comme Henri-Cartier Bresson, Cecil Beaton, Milton Green, Eve Arnold ou Bert Stern.- La collection compte également une robe de soirée personnelle dessinée par Lanvin et Castillo.Exposition de costumes sur l'île de Jersey
L’île de Jersey va vivre une grande première avec cette exposition unique : la plus grande collection de costumes originaux de Marilyn Monroe jamais constituée à ce jour sera exposée pour la première fois, au Musée de Jersey à St Hélier.
Les dix-neuf pièces toutes portées par Marilyn, étiquetées du label du studio prouvant leur authenticité, sont la propriété de David Gainsborough-Roberts, collectionneur invétéré de Jersey. Dans un espace spécialement aménagé, elles nous montrent Marilyn sous un jour nouveau, avec beaucoup de nostalgie.
L’exposition présente accessoires et robes portés dans les films suivants :
- The Fireball (1950)
- Niagara (1952) : Robe rose et négligé en soie noire.
- Les Hommes préfèrent les Blondes (1953) : Justaucorps en soie noire et chapeau assorti.
- Comment Epouser un Millionnaire (1953) : Une paire de faux diamants et de boucles d’oreilles portées par Marilyn à plusieurs reprises.
- La Joyeuse Parade (1954) : Une robe très élaborée et très sexy, garnie d’un panneau pour recouvrir la jambe de Marilyn pour les scènes tournées à destination des pays où la nudité est interdite. Un costume de bain des années 1950s et un bonnet de bain en forme de fleur.
- Sept ans de réflexion (1955) : Une paire de longs gants noirs.
- Bus Stop (1956) : Costume en satin vert et une blouse à lacets noire.
- Le Prince et la Danseuse (1957) Fourrure et robe de soirée en soie blanche.
- Certains l’aiment chaud (1959) : Une robe de cocktail noire dessinée par Orry-Kelly, célèbre styliste qui a travaillé pour les plus grand studios et a remporté un Oscar pour les costumes de ce film. Sa robe était si serrée qu’elle était obligée de se faire soulever pour s’asseoir sur le piano.
- Le Milliardaire (1960) : Une blouse en soie rose.
- Les Désaxés (1961) : Le bikini porté par Marilyn dans le rôle spécifiquement écrit pour elle par son mari Arthur Miller.
- Un costume porté pour Life magazine en 1958 pour une photo réalisée par Richard Avedon.
- La collection compte également une robe de soirée personnelle dessinée par Lanvin et Castill.
Egalement présentés, des effets personnels, des habits, des lettres, des bijoux et des récompenses appartenant à Marilyn.
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2/11/1959 Vol New York - Los Angeles
Le 2 novembre 1959, Arthur Miller et Marilyn Monroe quittent New York (à l'aéroport d'Idlewild) pour Los Angeles, où doit débuter le tournage de Let's Make Love (Le Milliardaire).
>> vidéo
Pour apprécier cette vidéo - cliquer sur le logo de MIXEPOD
- le fond musical du blog sera supprimé.
On November 2nd, 1959, Arthur Miller and Marilyn Monroe are departing from New York (at Idlewild airport) going to Los Angeles, where Marilyn has to film Let's Make Love.
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20/05/1959 Expo American Academy of Arts and Letters
Le 20 mai 1959, à New York, Marilyn Monroe accompagne Arthur Miller à une exposition annuelle organisée par les membres de l'institut "American Academy of Arts and Letters" à la gallerie National Institute of Arts and Letters sur Broadway (entre la 155ème et la 156ème Rue).
On May 20, 1959, in New York City, Marilyn Monroe and Arthur Miller were going to the annual exhibition organised by the members of "American Academy of Arts and Letters" at the Gallery of the National Institute of Arts and Letters, Broadway, between 155 and 156 Streets.
SOURCES / http://divinemarilyn.canalblog.com/tag/new%20york
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Février 1956 New York Black Sitting - Marilyn par Milton
Marilyn Monroe photographiée par Milton H Greene février 1956 - New York City- au studio de Milton, au 480 Lexington Avenue, 45th Street Les prises de vues ont été réalisées sur deux nuits.
Il s'agit d'une séance désormais mythique, entièrement en noir et blanc et ainsi nommée "The Black Sitting" "(La séance noire") où chaque photographie est comme démentie par la suivante. Marilyn y est tour à tour tragique et bouffonne, inaccessible et offerte. Ces photos évoquent le plaisir de la chair autant que les tourments de l'âme. Jamais la beauté de Marilyn n'a été montrée dans ce qu'elle comporte d'angoisse et de doute. (extrait du documentaire Marilyn malgré elle).
> Photos de la session "BLK" > Photos de la session "Black Sitting"
> Plus de 20 ans après, Milton prend la pose devant les photos de la Black Sitting
> Photos de la session "BLK" > Photos de la session "Black Sitting"
> Plus de 20 ans après, Milton prend la pose devant les photos de la Black Sitting
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lot n°193:
LAURENCE OLIVIER
Prince & Showgirl ORNET JACKET A formal jacket from The Prince and the Showgirl (Warner Bros., 1957) worn by Grand Duke Charles, played by Laurence Olivier, as he dances with Elsie, the showgirl, played by Marilyn Monroe, at his son's coronation ball. The heavy wool, cream colored jacket has red collar and cuffs. The jacket is detailed with hand-stitched black, red and gold cord and still has the threaded loops where the medallions were attached on the front. Accompanied by a copy of the film.
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Julien's Auction 10/2011 - lots 192 et 193
lot n°192:
MARILYN MONROE River of no return DRESS A Marilyn Monroe worn dress from the film River of No Return (20th Century Fox, 1954).
Worn for her role as Kay Weston as she sings "I'm Gonna File My Claim." The green velour dress was designed by Travilla. Two high slits create a panel in the front of the skirt that reveals a red tiered underskirt. Exaggerated bustle at back, with ribbon and beaded trim at shoulders.
SOURCES / http://divinemarilyn.canalblog.com/archives/2011/09/04/21940268.html
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13/03/1961 Roseland Ball
Le 13 mars 1961, à New York, Marilyn Monroe participe au gala de charité The Roseland Dance Hall organisé par les Strasberg. Parmi les invités: Lee Strasberg et sa femme Paula Strasberg, l'actrice Vivien Leigh et le réalisateur du film "Arrêt D'autobus", Joshua Logan. Marilyn est arrivée accompagnée de John Springer. Marilyn légua un manteau de fourrure en vison qui fut vendu aux enchères dont les profits allèrent à l' Actor's Studio Benefit.
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07/06/1961 Marilyn au Sands
Marilyn Monroe assiste à une représentation de la bande du Rat Pack sur la scène du Sand's à Las Vegas le 7 juin 1961. Sur scène, Peter Lawford anime la soirée; puis Frank Sinatra interrompt Joey Bishop pour dédier la soirée à Dean Martin, dont c'est l'anniversaire. Pour le fêter, de nombreuses stars sont venues: on aperçoit au côté de Marilyn, Dean Martin et sa femme, ainsi que Liz Taylor et son mari Eddie Fisher.
Parmi les autres spectateurs, se trouvaient Peter Lawford et sa femme Patricia, Jean Kennedy Smith (la soeur de Pat, John et Robert Kennedy).
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lot n°776: MARILYN MONROE OWNED HAT A Marilyn Monroe owned straw hat with frayed brim. Felt applique reads “Isla Margarita” brim. Hat band is decorated with red applique felt flowers and green felt vegetation. No size present. PROVENANCE Partial Lot 450, “The Personal Property of Marilyn Monroe,” Christie’s, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999
lot n°774:
MARILYN MONROE THEDA BARA CLEOPATRA COSTUME A harem costume worn by Marilyn Monroe for a 1958 photoshoot with Richard Avedon. Avedon dressed Monroe as five of Hollywood’s famed leading ladies. In this costume, Monroe dressed as Theda Bara in her role as Cleopatra. It is purported that this was part of Monroe’s campaign to play the role of the Egyptian queen in the film Cleopatra that eventually starred Elizabeth Taylor.
The costume is comprised of a goldtone brassierewith snake motif cups, prong set costume gems and metal ring straps, and a skirt created by a series of scarves affixed to a gold lame bikini bottom. The accessories include a serpentine headdress with goldtone linked rings at each side, three pressed metal wristbands and armbands with arabesque designs, and a belt designed to be worn at the hip with goldtone bead, gen and paillette embellishments. Accompanied by one scarfnot affixed to skirt. PROVENANCE Lot 25 “The Personal Property of Marilyn Monroe,” Christie’s, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999
lot n°784:
MARILYN MONROE SCREEN WORN COSTUME A raw silk pink ensemble worn by Marilyn Monroe in The Seven Year Itch (20th Century Fox, 1955). The costume is composed of a three-quarter-length-sleeve top and tapered leg pants containing a costumer’s label that reads “Marilyn Monroe A-734” and a maker’s label that reads “designed by Jax.” Pants feature back zipper closure and shirt features deep V neckline with wing collar. Monroe can be seen wearing the ensemble with a matching belt, now absent, as she portrayed “The Girl” in the film. No size present.
lot n°786:
MARILYN MONROE FUR STOLE A Marilyn Monroe owned fur stole. The fur is Russian Lynx with a sage green wool lining. No label present. Approximately 21 by 60 inches PROVENANCE Lot 181, “The Personal Property of Marilyn Monroe,” Christie’s, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999
lot n°789:
MARILYN MONROE OWNED SHIRT A black button-down shirt owned by Marilyn Monroe. The cotton shirt has a peter pan style collar and five-button closure. Label reads “Made in Italy/ By Rosellina/ 16.” PROVENANCE Partial Lot 50, “Property From The Estate of Marilyn Monroe,” Julien’s Auctions, Los Angeles, June 4, 2005
Vente aux enchères publique les 26 et 27 juin 2010 par JuliensAuction au Planet Hollywood de Las Vegas aux Etats-Unis. Le catalogue (photo ci-contre) est en vente sur juliensauction Le catalogue présente tous les produits qui seront mis aux enchères: photographies, vêtements personnels costumes de films bijoux meubles et décorations de sa maison de Brentwood objets
Marilyn owned this sleeveless black silk dress; interior label reads "Ceil Chapman," one of MM's favorite cocktail dress designers. Marilyn can be seen wearing this dress in photos with gossip columnist Louella Parsons.
persos (tels que livres)...
Photographie signée Pantalon à carreaux Quatre petits bancs de Brentwood
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Marilyn Monroe : mort mystérieuse ?
Le dimanche 5 août 1962, Marilyn Monroe est retrouvée morte.
La version officielle : mort par overdose de barbituriques.
Par contre, plusieurs doutes persistent sur cette mort et certain se demandent si, en fait, ce « suicide » ne cacherait pas un lourd secret. C’est l’avis du premier policier arrivé sur les lieux. Voici un résumé de l’affaire.
À 4h25 du matin, le 5 août 1965, à Los Angeles, le téléphone sonne au poste de police : Marilyn Monroe est morte. Le sergent Jack Clemmons se dirige alors directement au domicile de l’actrice. Il trouve Marilyn nue, étendue dans son lit, la main fermement agrippée au combiné de téléphone.
Des boîtes de somnifères vides jonchent le sol. Tout laisse à penser à un suicide. Le sergent n’y croit pas : « J’ai su dès la première seconde qu’il s’agissait d’un crime ; la position de son corps n’avait pas l’air naturelle. À l’évidence, on l’avait placé ainsi. »
Clemmons n’est pas au bout de ses surprises.Une agitation suspecte règne dans la maison. On est en train de réparer la fenêtre de la chambre de l’actrice, à 5 heures du matin, alors que la plus grande star d’Hollywood vient de mourir !
Est-ce qu’on veut camoufler des traces d’effraction ?
En plus, la gouvernante de Marilyn est occupée à charger le coffre d’une voiture de boîtes contenant on ne sait quoi.
Disparition de pièces à conviction ?
La maison semble avoir été récemment remise en ordre et la machine à laver est en marche. Après un tel nettoyage, comment trouver des empreintes ?
En interrogeant les personnes présentent sur les lieux, il ne recueille que des réponses vagues, comme si tout avait été appris par cœur.
Pire que ça, en recoupant les emplois du temps de la gouvernante et des deux médecins présents sur les lieux, il s’aperçoit qu’ils ont attendu quatre heures avant de prévenir le commissariat…
Autre élément capital, la dose de barbiturique supposément avalée par l’actrice est colossale.
Huit à dix boîtes de barbituriques.
D’après des experts en médecine légale, la dose retrouvée dans le sang et le foie aurait suffi à tuer plusieurs personnes.
Or, il est impossible de continuer à avaler des barbituriques alors qu’on en a déjà absorbé une quantité mortelle.
En outre, les médicaments auraient dû laisser des traces dans l’estomac, mais aucun résidu, ni de capsule, ni de leur contenu ne s’y trouvait.
À ce jour on ne sait toujours pas comment une telle quantité de drogue a pu arriver dans le sang de l’actrice, car tous les autres procédés, injections avec seringue, injection rectale, ont été étudiés et rejetés.
La question qu’on doit se poser, qui à tué Marilyn ? Qui pouvait en tirer profit ? Selon plusieurs, les candidats ne manquent pas. Il faut regarder du côté de sa vie privée. Au premier rang, ses liaisons dangereuses avec les frères Kennedy.
Elle a connu une aventure avec John F Kennedy, mais au moment de sa fin tragique, c’est avec le frère cadet, Robert, alors ministre de la justice, qu’elle nouait une relation tumultueuse.
Quelques jours avant le drame, Marilyn a appris que Robert voulait mettre fin à leur relation. Elle téléphone sans cesse à la Maison Blanche, mais ses appels sont interceptés. Furieuse, elle menace Robert que s’il ne revient pas sur sa décision, elle convoquera une conférence de presse pour le lundi 6 août et elle fera tout pour salir la réputation des Kennedy.
Elle révèlera qu’elle avait avorté de Bob Kennedy, qu’elle avait eu une liaison avec John et que la CIA et la mafia préparaient main dans la main l’assassinat de Fidel Castro, le leader cubain et ce, avec la bénédiction du Président.
Ça crée aussitôt une panique à la Maison Blanche. Dans la soirée du samedi, Robert est vu se rendant à la maison de l’actrice pour la calmer…ou pour récupérer le journal écrit par la star où elle consigne les détails sur l’assassinat de Castro. Une querelle s’en suit et Bob ressort les mains vides. Quelques heures plus tard, l’actrice est retrouvée morte.
La mafia entre aussi dans le portrait.
Fin 1960, Marilyn entretient une brève liaison avec Frank Sinatra, lui-même bien connu pour ses amitiés avec la mafia.
Elle est régulièrement invitée au Cal-Neva Lodge, casino très prisé des gangsters, dont Sinatra est copropriétaire avec Sam Giancana, chef de la mafia de Chicago et ami personnel des Kennedy.
En effet, il connaissait bien Joe, le père de John et avait même partagé une maîtresse avec John.
Marilyn est donc piègée au cœur d’une véritable toile d’araignée à cause de ces liaisons. Ceux qui veulent nuire aux Kennedy ( ils sont très nombreux ) savent où frapper. Marilyn devient ainsi leur cible de prédilection.
Sa maison est truffée de micros. Jimmy Hoffa, président du puissant syndicat des camionneurs l’espionne dans le but de faire chanter Bob. Le FBI aussi connaît des difficultés avec les Kennedy.
En effet, le ministre de la justice avait tenté de faire renvoyer le tout puissant patron Edgard Hoover.
La CIA aussi avait des raisons d’en vouloir aux Kennedy après le fiasco du débarquement à Cuba qui coûta la vie à des centaines d’agents secrets.
Donc, de nombreuses personnes sont au courant de la relation entre Marilyn et les Kennedy et quand l’actrice menace de tout déballer, nombreux sont ceux qui auraient intérêt à la faire taire.
Le mystère reste entier. De plus, plusieurs pièces à conviction ont mystérieusement disparu.
Pourquoi a-t-on jeté les échantillons prélevés sur le corps de la victime ?
Que sont devenus le carnet intime de Marilyn et les bandes d’enregistrement de ses conversations téléphoniques avec la Maison Blanche ?
Le premier avait été confié à un juge, les secondes furent saisies par le FBI dans les archives de la compagnie de téléphone. Les deux se sont ensuite volatilisés.....
Certains documents fortement censurés, noircis, confirme que le FBI maintient toujours à ce jour le secret sur certaines informations sur Marilyn Monroe et qu'il ne compte toujours pas divulguer au public. Si vous êtes fans, vous savez que la mort de marilyn remonte au 5 Août 1962.
Les circonstances qui ont amenées a cette mort sont mystérieuses, mais il est sur pour moi que Marilyn ne s'est pas suicidée: elle avait trop de projets et s'était rendue compte qu'elle était le véritable maitre de son destin...c'est cela qui l'a tuée.
Les documents qui pourraient éclaircir ce mystère restent à ce jour, comme vous le savez, classés secret défense.
Voila à la suite de divers documents officiels, ces dossiers nous pouvons aujourd'hui affirmer que le FBI en nous cachant certaines informations sur sa mort nous prouve que marilyn ne s'est pas suicider mais qu'on l'aurait bien assasinée....
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Avant l'aube du dimanche 5 août 1962, un vent chaud venu du désert mojave balayait le bassin de Los Angeles, agitant les hauts eucalyptus qui protégeaient comme un rideau la maison de Marilyn Monroe, à Brentwood.
On entendait tinter doucement dans l'obscurité les vieux carillons que lui avait offerts le poète Carl Sandburg. D'autres sons, plus étranges, furent portés par le vent au cours de la nuit: des cris, une vitre qu'on brise. Les voisins ont parlé d'une femme hystérique qui aurait crié:
« Assassins ! Espèce d'assassins ! Vous êtes contents, maintenant qu'elle est morte ?» A minuit, le sergent Jack Clemmons prit son poste au commissariat de police de West Los Angeles, Purdue Street.
Les premières heures de ce dimanche, la garde du sergent Jack Clemmons fut très calme. Jusqu'à cet appel, peu avant l'aube.
Son interlocuteur se présenta: Dr Hyman Engelberg. Et il dit: «Marilyn Monroe est morte. Elle s'est suicidée.»
Croyant à une plaisanterie, Clemmons demanda: «Qui avez-vous dit que vous étiez? - Je suis le Dr Hyman Engelberg, le médecin de Marilyn Monroe. Je me trouve chez elle. Elle vient de se suicider. - Donnez-moi l'adresse, j'arrive.» Il regarda sa montre et nota dans le registre qu'il était 4 h 25 du matin.
Au 12305 5th Helena Drive, le sergent Clemmons entendit un chien aboyer. Il frappa à la porte. Il entendit dans la maison des pas et des conversations murmurées. Il frappa de nouveau. Il se passa une bonne minute avant qu'on allume la lampe du porche et qu'une femme entre deux âges lui ouvre.
Elle dit qu'elle était Eunice Murray, la gouvernante. Elle conduisit le sergent Clemmons dans une chambre où gisait le corps, en travers du lit. On avait rabattu un drap sur la tête, ne laissant visible qu'une mèche de cheveux blond platine.
Un homme à l'air distingué était assis, abattu, près du lit, la tête baissée, le menton dans les mains, le Dr Hyman Engelberg. Un autre homme, debout près de la table de nuit, se présenta comme le Dr Ralph Greenson, le psychiatre de Marilyn Monroe.
«Elle s'est suicidée», dit le Dr Greenson. Puis, montrant la table de nuit jonchée de boîtes de comprimés, il désigna un flacon vide de Nembutal et ajouta: «Elle en a pris tout le contenu.»
Clemmons se souvient: «Elle était à plat ventre dans ce que j'appelle "la position du soldat": la tête dans un oreiller, les bras le long du corps, le bras droit légèrement plié, les jambes allongées toutes droites.» Il avait vu bon nombre de suicides et, contrairement à l'idée reçue selon laquelle une surdose de somnifères est une manière facile et indolore de mourir, les victimes souffrent habituellement de convulsions accompagnées de vomissements et meurent dans une posture très tourmentée.
«A-t-on bougé le corps ? demanda Clemmons.
- Non, répondirent les médecins.
- Avez-vous tenté de la ranimer ? demanda le sergent Clemmons.
- Non, nous sommes arrivés trop tard, répondit le Dr Greenson.
- Savez-vous à quelle heure elle a pris les comprimés?
- Non.»
Clemmons avait l'habitude que les médecins l'informent spontanément.
Mais il s'agissait de la mort d'une star du cinéma.
Quand le sergent se retourna pour parler à Mrs Murray, il se rendit compte que la gouvernante avait quitté la pièce.
Il la retrouva dans la buanderie, où machine à laver et séchoir étaient en marche.
Elle pliait du linge sur le plan de travail et elle lui sembla agitée. I
l sembla curieux au sergent Clemmons que la gouvernante s'inquiète de la lessive en pleine nuit, alors que sa patronne gisait morte dans sa chambre.
Il demanda: «Quand avez-vous découvert que Miss Monroe avait un problème?
- Peu après minuit, répondit Mrs Murray.
J'étais allée me coucher vers 22 heures.
J'ai remarqué la lumière sous la porte de Marilyn.
Je me suis dit qu'elle dormait ou qu'elle parlait avec quelqu'un au téléphone.
Alors je suis allée me coucher.
Je me suis réveillée à minuit parce que je devais aller aux toilettes.
La lumière filtrait toujours sous la porte de Marilyn.
Alors je me suis inquiétée.
J'ai essayé d'ouvrir la porte, mais elle était fermée à clef de l'intérieur.
J'ai frappé, mais Marilyn n'a pas répondu.
Alors j'ai appelé son psychiatre, le Dr Greenson, qui n'habite pas très loin.
Quand il est arrivé, vers minuit et demi, elle ne lui a pas répondu non plus.
Alors il est sorti et il a regardé par la fenêtre de la chambre.
Il a vu Marilyn couchée, immobile, sur le lit, et il lui a trouvé une mine bizarre.
Il m'a dit: "Nous l'avons perdue", et puis il a appelé le Dr Engelberg.»
Le corps de Marilyn avait été découvert à minuit et demi, et la police n'avait été appelée qu'à 4 h 25. Le sergent Clemmons demanda aux médecins pourquoi il leur avait fallu près de quatre heures pour appeler la police.
Le Dr Greenson répondit: «Il nous a fallu obtenir l'autorisation du service de publicité du studio.
- Le service de publicité?
- Oui, le service de publicité de la Twentieth Century Fox. Miss Monroe y tournait un film [Something's Got to Give].
- Qu'avez-vous fait pendant ces heures?
- Nous avons bavardé», marmonna le Dr Engelberg.
Clemmons interrogea les médecins sur les circonstances qui avaient présidé à la découverte du corps.
Le Dr Greenson raconta l'histoire presque dans les mêmes termes que Mrs Murray. On l'avait appelé peu après minuit et il était arrivé vers minuit et demi.
Il avait dû casser une fenêtre avec le tisonnier pour accéder à la chambre, où il avait trouvé Marilyn sur le lit.
Il indiqua que sa main tenait fermement le téléphone, quand il l'avait trouvée, et qu'il le lui avait alors presque immédiatement pris.
Il ajouta qu'elle avait dû essayer d'appeler à l'aide.
Le sergent Clemmons trouva curieuse cette hypothèse du Dr Greenson, sachant que Mrs Murray était dans la maison, la porte de sa chambre à trois mètres de celle de Marilyn.
Tandis qu'il rentrait au quartier général de la police de West Los Angeles, des idées lancinantes occupaient l'esprit du sergent Clemmons: il était certain que le corps avait été déplacé, et il se demandait de quoi les médecins avaient bien pu parler pendant quatre heures, avant d'appeler la police. Pourquoi n'avait-il pas trouvé de verre dans la pièce fermée à clef ?
[...]
Si la plupart des entreprises ferment, le dimanche, à la morgue du comté de Los Angeles c'est en général le jour le plus actif.
C'est le plus souvent le samedi soir que les gens meurent dans des circonstances curieuses.
En 1962, le bureau du coroner du comté et la morgue étaient situés dans le sous-sol du palais de justice, dans le centre-ville.
Le Dr Thomas Noguchi, récemment nommé médecin légiste adjoint, arriva à 6 h 30 le dimanche matin. Le coroner Curphey avait appelé le bureau avant son arrivée et laissé un message:
«Le Dr Curphey veut que le Dr Noguchi procède à l'autopsie de Marilyn Monroe.» Noguchi ignorait que la star était morte et il pensa que la personne à autopsier portait le même nom qu'elle. Quand il apprit qu'il s'agissait effectivement de la célèbre Marilyn Monroe, il trouva curieux que le coroner Curphey l'ait choisi comme légiste.
«On aurait dû confier une autopsie de cette importance à un médecin plus confirmé, déclara Noguchi. Et pourtant le Dr Curphey avait bien spécifié que le travail me revenait.»
Le Dr Noguchi vérifia la liste des corps arrivés à la morgue dans la nuit de samedi à dimanche et fut surpris de ne pas trouver de Marilyn Monroe sur la liste. Il interrogea l'assistant du coroner, Lionel Grandison.
Celui-ci devait vérifier les décès survenus dans le comté de Los Angeles et s'assurer que tous ceux qui s'étaient produits dans des circonstances peu claires, ou hors de la présence d'un médecin, étaient déférés au bureau du coroner. Grandison ne tarda pas à découvrir une première irrégularité.
«Quand les gens meurent de cause naturelle à l'hôpital, leur corps y est généralement conservé jusqu'à ce que les dispositions soient prises pour leur transport en vue des funérailles, explique Grandison.
Mais, quand la mort en question peut être un suicide ou un meurtre, quand il s'agit d'un accident ou quand les causes sont tout simplement inconnues, la loi dit que le corps doit être transporté à la morgue du comté, pour que le bureau du coroner tire les conclusions adéquates.»
Grandison entreprit une recherche et trouva le corps de Marilyn Monroe aux pompes funèbres de Westwood Village. «Pour que cela ait été possible, poursuit Grandison, il a fallu que quelqu'un téléphone à l'entreprise de pompes funèbres et demande spécifiquement qu'on vienne chercher le corps.»
Il fut d'autant plus choqué de découvrir que les responsables des pompes funèbres de Westwood Village préparaient déjà le corps pour l'embaumement, si bien qu'ils étaient très réticents à l'idée de l'envoyer au coroner.
C'était une situation sans précédent, et son enquête ultérieure amena Grandison à interroger le personnel des pompes funèbres de Westwood Village, mais il ne réussit pas à découvrir qui avait demandé par téléphone que le corps soit transporté dans leurs locaux.
Peu après 9 heures du matin, Grandison fit prendre le corps aux pompes funèbres et le fit placer dans le casier n° 33 de la morgue du comté de Los Angeles, au palais de justice. Marilyn Monroe devint le cas n° 81128 dans les dossiers du coroner. Marilyn Monroe fut ainsi la première des stars à figurer dans la distribution morbide du film de la vie professionnelle du Dr Noguchi.
Devaient suivre Sharon Tate, Janis Joplin, William Holden, Natalie Wood et John Belushi. En 1968, il fit aussi l'autopsie de Robert Kennedy.
Le Docteur Noguchi publia alors un livre sur sa fréquentation des cadavres célèbres et conquit le sinistre titre de «coroner des stars».
Après la publication de son livre, en 1984, il fut démis de ses fonctions de directeur par l'administration de la ville à cause d'une prétendue mauvaise gestion de son bureau et de la publicité tapageuse faite autour de son métier de médecin légiste.
Peu avant le début de l'autopsie, John Miner, avocat général adjoint, spécialiste de droit médical et psychiatrique, se joignit au Dr Noguchi. John Miner était professeur adjoint à l'école de médecine de l'université de Californie du Sud et, de même que le Dr Ralph Greenson, chargé de cours à l'Institut de psychanalyse de Los Angeles.
Le coroner du comté de Los Angeles, le Dr Theodore Curphey, assistait, lui aussi, à l'autopsie de Marilyn Monroe. Bien que sa présence n'eût jamais été révélée par le bureau du coroner, Lionel Grandison a récemment déclaré:
«Je me souviens du jour de cette autopsie, et je peux affirmer que le Dr Curphey était là... Je sais qu'il a personnellement supervisé tout ce qui s'est passé.»
La révélation de Grandison explique peut-être pourquoi on avait assigné un tout nouveau médecin légiste au cas n° 81128.
«La présence du coroner Curphey à une autopsie était sans précédent, affirme Grandison. Il a supervisé toute la procédure et orchestré le rapport final. Il lui aurait été difficile de le faire avec le légiste en chef, qui aurait normalement dû se voir confier cette tâche.»
A propos de la manière dont le coroner Curphey dirigea l'autopsie, Noguchi a déclaré: «Tout jeune membre de l'équipe, je n'ai pas eu le sentiment que je pouvais m'opposer au patron sur la procédure.»
Le Dr Noguchi et John Miner avaient lu les rapports de police indiquant que Marilyn Monroe était morte dans une pièce fermée de l'intérieur et que ses médecins pensaient qu'elle avait succombé à l'ingestion d'une trop forte dose de barbituriques. Ils avaient aussi analysé les flacons de comprimés pris dans la chambre.
Le Dr Engelberg avait déclaré à la police que, le vendredi 3 août, il avait renouvelé l'ordonnance de Marilyn Monroe pour 50 comprimés de Nembutal.
Le registre de la pharmacie San Vicente indiquait que l'ordonnance avait été exécutée la veille de la mort. [Mais ne mentionnait que 25 comprimés.]
Le Dr Noguchi déclare que, bien qu'on n'eût découvert aucune seringue dans la pièce fermée, l'autopsie commença par une recherche de points de perforation qui auraient indiqué que des substances avaient été administrées par injection.
Le rapport d'autopsie indique clairement:
«Pas de traces d'aiguille.»
Dans le dossier, il est bien dit que le Dr Engelberg avait fait à Marilyn une piqûre le 3 août - la veille de sa mort - vers 16 heures.
Et, comme elle mourut vers 22 h 30 le lendemain, on observe que trente heures s'étaient écoulées.
Le Dr Noguchi, dans son livre, Coroner, explique combien il est difficile de découvrir des traces de piqûres récentes.
Il cite le cas de John Belushi. Après avoir examiné le corps de ce dernier, la police avait éliminé l'injection d'une substance toxique comme cause de la mort parce que le personnel du coroner n'avait pas réussi à découvrir de traces de piqûre.
Le chef de la division de médecine légale, le Dr Ronald Kornblum, examina le corps de Belushi et fut incapable, lui aussi, de découvrir une trace de pénétration d'aiguille - pas plus que le Dr Noguchi. Mais celui-ci, soupçonneux depuis qu'on avait retrouvé de la poudre de cocaïne sur le lieu du décès, persista:
«J'ai pris le bras droit de Belushi dans mes deux mains, et je l'ai pressé, raconte le docteur... Soudain, une gouttelette de sang est apparue au creux du coude, mais le fait que les piqûres récentes aient été si difficiles à découvrir m'inquiéta...
On avait utilisé une aiguille stérile et seules des gouttelettes de sang le révélaient.»
Autre sujet d'inquiétude lors de l'examen externe du corps: la lividité cadavérique.
Elle est causée par l'effusion hors des vaisseaux du sang qui s'accumule dans les parties les plus basses du corps dans les heures qui suivent la mort.
Il y produit des taches qui vont du gris bleuâtre au violacé.
Dans son rapport, le médecin mentionne deux zones de lividité: le visage, le cou, les bras, la poitrine et l'abdomen, d'une part, et «une légère lividité qui disparaît à la pression sur la face postérieure des bras et des jambes», d'autre part.
Cette double lividité présente une grande importance légale.
Les zones de lividité secondaires se forment quand on bouge un corps pendant que s'installe la lividité cadavérique, processus qui dure généralement quatre heures après le moment de la mort.
Par exemple, si un corps repose sur le ventre pendant trois heures après la mort et qu'ensuite il soit mis sur le dos, une zone de lividité secondaire peut apparaître sur le dos pendant l'heure qui suit.
Le Dr Noguchi et John Miner auraient pu envisager cette possibilité quand ils remarquèrent cette double lividité.
On sait maintenant que Marilyn Monroe est morte vers 22 h 30 le samedi soir.
Son corps a été retourné et placé sur le brancard par Guy et Don Hockett [des pompes funèbres] huit heures après la mort, soit quatre heures après la fin du processus d'installation de la lividité cadavérique.
En conséquence, la légère lividité remarquée sur son dos n'a pu se produire qu'immédiatement après la mort, quand le corps est resté un temps sur le dos avant qu'on le place à plat ventre sur le lit.
Le rapport du Dr Noguchi signale deux contusions récentes sur le corps de Marilyn: «une petite ecchymose sur la fesse gauche et une autre à gauche sur la chute des reins».
Pourtant, à en croire Lionel Grandison, d'autres bleus étaient visibles sur le corps de Marilyn, ignorés par le document officiel.
«Quand un corps est amené à la morgue, explique Grandison, il est immédiatement inspecté par un assistant médical. A ce stade, tous les bleus, cicatrices, coupures et autres traumatismes sont indiqués sur une première fiche d'examen. Cette fiche est intégrée au dossier officiel.»
Lionel Grandison déclare qu'il a vu cette fiche le matin du 5 août et qu'elle signalait les bleus sur la fesse indiqués dans le rapport d'autopsie, mais aussi d'autres bleus, sur les bras et à l'arrière des jambes. Selon Grandison, «la fiche de cet examen initial faisait partie du dossier qui disparut quand l'affaire prit de l'ampleur».
Le fait que ces bleus évidents n'aient conduit à aucune interrogation, et que les plus petits ne furent même pas notés, constitue une omission troublante.
Le Dr Noguchi admit, lors d'une interview, en 1982, qu'on aurait dû s'intéresser au gros bleu pourpre sur la fesse gauche.
«Ce bleu, dit-il, n'a jamais été totalement expliqué. C'est un signe de violence.»
Après l'examen externe, le Dr Noguchi passa à l'examen interne.
Il ouvrit l'estomac, et John Miner et lui en ont examiné le contenu, à la recherche de traces des comprimés de Nembutal qu'elle aurait ingérés. Ils ont donc été surpris de trouver l'estomac totalement vide.
«Il y avait dans l'estomac une petite quantité de liquide, se souvient John Miner, mais nous n'y avons détecté aucun signe qui aurait indiqué qu'il avait contenu une forte dose de médicaments ou de sédatifs.»
«Un prélèvement du contenu gastrique examiné sous microscope polarisant ne montre pas de cristaux réfringents», déclare le rapport d'examen.
Selon le Dr Sidney S. Weinberg, ancien médecin légiste en chef du comté de Suffolk, New York, «la mort par ingestion d'une grande quantité de barbituriques est incompatible avec l'absence de cristaux réfringents dans le tube digestif. Sous microscope polarisant, on aurait pu déterminer la nature exacte du produit ayant entraîné la mort, car ces médicaments ont chacun leur forme cristallisée particulière».
De plus, le Dr Weinberg et plusieurs autres médecins légistes de renom ont souligné qu'on appelle le Nembutal la «veste jaune» à cause du jaune de la gélatine qui entoure le produit actif. Si Marilyn Monroe avait avalé une cinquantaine de comprimés de Nembutal, comme on l'a dit, il y aurait eu des traces de teinture jaune dans le tube digestif, surtout dans un estomac vide.
Le Dr Noguchi ne trouva aucune trace de teinture jaune.
Pour examiner l'intestin, le Dr Noguchi et Miner commencèrent par regarder le duodénum, la première section après l'estomac. Quand des comprimés ont séjourné un certain temps dans l'estomac, il arrive que des résidus passent dans le duodénum. «Je n'ai pas trouvé la moindre preuve visuelle de la présence de comprimés dans l'estomac ou l'intestin grêle, déclara le Dr Noguchi.
Aucun résidu. Pas de cristaux réfringents.
Et pourtant les flacons de comprimés vides montraient que Marilyn Monroe avait avalé de 40 à 50 comprimés de Nembutal et un grand nombre de comprimés d'hydrate de chloral.»
L'un des problèmes posés par l'examen ne fut donc pas tant ce que le Dr Noguchi et John Miner trouvèrent, mais ce qu'ils ne trouvèrent pas.
Autre facteur important lors de l'examen tant externe qu'interne: l'absence d' «odeur de poire». Les médecins légistes savent que les victimes d'une ingestion d'hydrate de chloral dégagent une forte odeur, dite «de poire». Ce n'est pas le cas lorsque la dose fatale d'hydrate de chloral a été injectée par voie intraveineuse et non ingérée par le tube digestif.
L'autopsie sur le corps avait duré cinq heures. On ramena ce qui restait de Marilyn Monroe dans le casier n° 33 de la morgue.
C'est peu après 22 heures, ce dimanche soir, que le photographe de Life Leigh Wiener s'introduisit dans la morgue du comté.
Moyennant une bouteille de whisky, l'employé de la morgue lui ouvrit le casier n° 33 et en tira le corps pour que Wiener prenne quelques photos. Il en prit plusieurs du cadavre, couvert et découvert.
Ce fut la dernière séance de photos de Marilyn Monroe.
Sur le rapport officiel.... la mort a été signalée à 4 h 25 du matin....
La version officielle : mort par overdose de barbituriques.
Certains documents fortement censurés, noircis, confirme que le FBI maintient toujours à ce jour le secret sur certaines informations sur Marilyn Monroe et qu'il ne compte toujours pas divulguer au public. Si vous êtes fans, vous savez que la mort de marilyn remonte au 5 Août 1962.
Les circonstances qui ont amenées a cette mort sont mystérieuses, mais il est sur pour moi que Marilyn ne s'est pas suicidée: elle avait trop de projets et s'était rendue compte qu'elle était le véritable maitre de son destin...c'est cela qui l'a tuée. Les documents qui pourraient éclaircir ce mystère restent à ce jour, comme vous le savez, classés secret défense.
Par par Don Wolfe et (L'EXPRESS.fr), publié le 15/10/1998
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1955 Mars : 266 photos
Toutes les soirées et autres de ce mois qui fut très très intense pour Marilyn !
DiaporamaSOURCES / http://paradisehunter.canalblog.com/albums/1955_mars/index.html
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Eté 1961 Marilyn avec Frank et Dean
Marilyn Monroe fréquente beaucoup Frank Sinatra et sa bande du Rat Pack pendant l'été 1961 à Newport Beach; elle est d'ailleurs amie avec notamment Dean Martin, avec qui elle tourne ce qui restera son dernier film inachevé: Something's Got to Give. Photos prises par Jimmy Van Heusen, chanteur et ami de Sinatra.
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Eté 1961 Marilyn avec Frank et Dean
Marilyn Monroe fréquente beaucoup Frank Sinatra et sa bande du Rat Pack pendant l'été 1961 à Newport Beach; elle est d'ailleurs amie avec notamment Dean Martin, avec qui elle tourne ce qui restera son dernier film inachevé: Something's Got to Give. Photos prises par Jimmy Van Heusen, chanteur et ami de Sinatra.
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Marilyn Monroe photographiée par Eric Skipsey au
Beverly Hills Hotel en 1961 avec son chien Maf
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Julien's Auctions - vêtements et chaussures
Lot n°346 : Robe d'été ayant appartenue à Marilyn Monroe. De couleur bleue turquoise à carreau blanc, petite robe d'été avec de petites poches à l'avant, de marque: "Serendipity 3", sans indication de taille. PROVENANCE Lot 116 "The Personal Property of Marilyn Monroe" de la vente de Christies New York, du 28 Octobre 1999.
Lot n°347 : Blouse blanche en cotton ayant appartenue à Marilyn Monroe. De style oxford, marque Gucci et "Made in Italy" indiqué sur l'étiquette. PROVENANCE Lot 116 "The Personal Property of Marilyn Monroe" de la vente de Christies New York, du 28 Octobre 1999.
Lot n°348 : Jupe blanche en satin ayant appartenue à Marilyn Monroe. Jupon couleur crème, étiquetté: “Virginia Wallace 26”. PROVENANCE Lot 116 "The Personal Property of Marilyn Monroe" de la vente de Christies New York, du 28 Octobre 1999.
Lot n°349 : Veste de soirée en velour noir ayant appartenue à Marilyn Monroe. Création de Jack Hanson qui travailla pour l'enseigne Jax (indication "Jax" sur l'étiquette). Hanson était un ex joueur de baseball de l'équipe Los Angeles Angels. Il emprunta $500 et installa sa propre boutique à Balboa, en Californie. Il ouvrit une seconde boutique à Beverly Hills et rencontra le succès avec de célèbres clientes: Marilyn, Natalie Wood, Joan Collins, et Janet Leigh. Ses vêtements coûtaient très chers et étaient donc reservés à une certaine classe sociale. PROVENANCE: Lot 116, The Personal Property of Marilyn Monroe, Christies, New York, Thursday, 28 October 1999.
Lot n°350 : Une paire de chaussures ayant appartenue à Marilyn Monroe. De la marque Creazioni Dal Co, numéroté #1619 à l'intérieur, sans indication de pointure. PROVENANCE Lot 282, The Personal Property of Marilyn Monroe, Christie’s, New York, Thursday, 28 October 1999.
Lot n°351 : Une paire de chaussures ayant appartenue à Marilyn Monroe. De la marque Creazioni Dal Co, numéroté #38hl à l'intérieur, sans indication de pointure. PROVENANCE Lot 282, The Personal Property of Marilyn Monroe, Christie’s, New York, Thursday, 28 October 1999.
lot n°570: MARILYN MONROE PUCCI ENSEMBLE A two-piece silk jersey in seafoam green, boatneck, sleeveless shirt with elastic waist together with matching knee-length skirt. Each piece pieces have both Emilio Pucci and Saks Fifth Avenue labels. PROVENANCE Lot 288, "The Personal Property of Marilyn Monroe," Christie's, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999.
lot n°571: MARILYN MONROE FALSE EYELASHES A box containing a pair of Martha Lorraine brand eyelashes owned by Marilyn Monroe. The box contains a plastic tray in which the eyelashes rest. There is also a segment to hold glue, which is absent. The lashes, made of human hair, contain traces of lash glue. PROVENANCE Partial Lot 112, "Fine Manuscripts Including a Collection of Marilyn Monroe Memorabilia," Christie's, Los Angeles, September 12, 2001
lot n°572: MARILYN MONROE HAIRNET A nude hairnet owned by Marilyn Monroe. PROVENANCE Partial Lot 248, "Property From the Estate of Marilyn Monroe," Julien's Auctions, Los Angeles, June 4, 2005.
lot n°573: MARILYN MONROE SATIN SLIP A cream color satin half slip with side zipper from the personal wardrobe of Marilyn Monroe. Label reads "Virgina Wallace 26." One stain on front and two small stains on back. PROVENANCE Partial Lot 116, "The Personal Property of Marilyn Monroe," Christie's, New York, sale number 9216, October 27 & 28, 1999
lot n°574: MARILYN MONROE BRASSIERE LINER An off-white brassiere liner from the professional wardrobe of Marilyn Monroe. PROVENANCE Partial Lot 80, "Property From the Estate of Marilyn Monroe," Julien's Auctions, Los Angeles, June 4, 2005.
lot n°575: MARILYN MONROE BELT A black velvet belt owned by Marilyn Monroe. The belt is stamped on the leather back "A Swanky Product." Brass buckle has discolored due to age. Includes original Christie's lot tag. Length, 32 inches PROVENANCE Partial Lot 114, "The Personal Property of Marilyn Monroe," Christie's, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999
lot n°576: MARILYN MONROE SWEATER A black mohair sweater vest with lable reading "Ilaria/ Made In Italy." PROVENANCE Partial Lot 146, "The Personal Property of Marilyn Monroe," Christie's, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999.
lot n°577: MARILYN MONROE OWNED SKIRT A tan corduroy skirt owned by Marilyn Monroe. Label reads "designed by Jax." Straight shape with side zipper and back kick pleat. No size present. PROVENANCE Lot 30, "Property From the Estate of Marilyn Monroe," Julien's Auctions, Los Angeles, June 4, 2005 -
lot n°578: MARILYN MONROE COCKTAIL DRESS A black crepe cocktail dress with deep v-neck and low cut back, with pouf hemline. Interior label reads “front” to identify the front of the dress. Monroe wore this dress to a 1958 party at The Beverly Hills Hotel and is pictured on the cover of the book Marilyn Monroe: From Beginning to End by Michael Ventura. No size present. PROVENANCE Lot 238, “The Personal Property of Marilyn Monroe,” Christie’s, New York, Sale number 9216, October 27 & 28, 1999
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